La solennité du Christ Roi de l’Univers, célébrée à la fin de l’année liturgique, revêt une signification profonde tant sur le plan théologique que spirituel. Elle nous invite à réfléchir sur la souveraineté du Christ, qui règne sur l’univers et sur nos vies. En tant que dernier dimanche de l’année liturgique, elle marque un moment de bilan, où nous sommes appelés à évaluer notre parcours spirituel.

Le thème du “déjà” et du “pas encore” est particulièrement pertinent dans ce contexte. Le “déjà” fait référence à la présence et à l’action du Christ dans nos vies, à sa royauté qui s’est manifestée à travers son ministère, sa mort et sa résurrection. En tant que chrétiens, nous avons déjà expérimenté la grâce de Dieu, son amour et sa miséricorde. Cependant, le “pas encore” souligne que nous sommes encore en chemin, en conversion, et que nous attendons la plénitude de son royaume, lorsque toutes choses seront réconciliées en lui.

Cette solennité nous pousse donc à faire un bilan de notre santé spirituelle : comment avons-nous vécu notre foi au cours de l’année écoulée ? Quels progrès avons-nous réalisés dans notre conversion ? Quelles sont les zones d’ombre ou de stagnation qui nécessitent notre attention ? En nous tournant vers le Christ Roi, nous sommes invités à renouveler notre engagement envers lui, à laisser sa royauté transformer notre cœur et notre vie.

Ainsi, la solennité du Christ Roi de l’Univers est un moment de joie et d’espérance, mais aussi de réflexion et de discernement. Elle nous rappelle que, même si nous avons déjà reçu la grâce du Christ, nous sommes appelés à poursuivre notre chemin de conversion, en nous ouvrant toujours plus à son amour et à sa vérité. C’est une invitation à vivre pleinement notre foi, dans l’attente de sa venue en gloire.

Tous les 29 du mois, à 19h, la dévotion à St-Michel est devenue un moment fort où nous lui demandons de protéger la vie spirituelle de tous les fidèles qui fréquentent notre sanctuaire mais aussi l'Eglise tout-entière.

Saint Michel Archange est l'un des saints les plus vénérés de l'Église catholique. Connu comme le chef des armées célestes, il est un puissant protecteur et un modèle de courage et de fidélité à Dieu.

Saint Michel est mentionné dans la Bible à plusieurs reprises, notamment dans le Livre de l'Apocalypse, où il est décrit comme le chef des armées célestes qui mène les anges dans la bataille contre le dragon, symbole de Satan. Son nom, Michel, signifie Qui est comme Dieu?, ce qui reflète son rôle de défenseur de la gloire divine.

"Saint Michel Archange, défendez-nous dans le combat; soyez notre secours contre la malice et les embûches du démon. Que Dieu exerce sur lui son empire, nous le demandons en suppliant; et vous, Prince de la milice céleste, repoussez en enfer, par la force divine, Satan et les autres esprits mauvais qui rôdent dans le monde en vue de perdre les âmes. Amen".

Cette prière, connue sous le nom de prière de Saint Michel, est souvent récitée pour obtenir sa protection et son aide dans les moments de danger spirituel.

Pourquoi adorer le Christ ?

♦ L’adoration eucharistique est une attitude de prière devant le Saint-Sacrement (l’Eucharistie). Le corps du Christ est réellement présent dans l’hostie consacrée lorsque celui-ci est exposé et adoré par les fidèles.

♦ L’objectif commun de la célébration et de l’adoration de l’Eucharistie est de permettre au fidèle de s’approcher de l’amour de Dieu et d’y adhérer personnellement pour tendre à s’unir avec le Christ, entrant ainsi dans la dynamique de l’amour trinitaire. L’adoration eucharistique en dehors de la messe prolonge et intensifie ce qui est réalisé durant la célébration liturgique elle-même. Elle vise plus particulièrement à entretenir une relation d’intime amitié avec le Christ.

♦ L’adoration est une grande source de vocations. Elle est une source de renouvellement spirituel et d’évangélisation pour les fidèles et pour l’Église entière.

D'abord, à 18h., nous aurons la liturgie de la messe à la paroisse St-Pierre-St-Paul à Fontenay-aux-Roses.

Ensuite, nous débuterons vers 19h15, la procession aux flambeaux, en passant par la Coulée Verte jusqu'au Sanctuaire de Ste-Rita, en face du RER B, à Fontenay-aux-Roses.

Enfin, nous aurons un temps animé de prière commune où il nous sera possible de voir que le privilège de Marie sera également le nôtre, sous l'égide du Christ, à la Parousie.

Depuis quelques années le sanctuaire de Sainte Rita propose une messe, trois jours de suite, les 16 - 17 - 18 décembre, à 6h30, avant le lever du soleil.

Les messes Rorate, ou messes de l’Attente, sont célébrées avant la fin de la nuit durant le temps de l’Avent. Avec pour seule lumière celle des bougies, cette liturgie fait de chaque fidèle un guetteur d’aurore qui attend dans l’espérance l’événement de Noël, l’avènement du Christ.

D’origine allemande, la tradition des messes Rorate remonte au Moyen-Âge où elle était présente dans toute l’Europe.

Le terme Rorate vient du latin et plus particulièrement du chant grégorien Rorate caeli, chant d’entrée de la messe du quatrième dimanche de l’Avent. Il s’agit d’une citation du livre d’Isaïe :

« Rorate caeli desuper, et nubes pluant iustum ; aperiatur terra, et germinet Salvatorem. »
« Cieux, faites venir le Juste comme une rosée, qu’il descende des nuées comme une pluie bienfaisante : que la terre s’entrouvre et donne naissance au Sauveur. » (Is 45, 8)

Ces messes sont une belle façon d’ouvrir notre cœur à la venue du Dieu fait homme, et de se préparer à la naissance de l’Emmanuel, Dieu avec nous.

Depuis quelques années le sanctuaire de Sainte Rita propose une messe, trois jours de suite, les 16 - 17 - 18 décembre, à 6h30, avant le lever du soleil.

Les messes Rorate, ou messes de l’Attente, sont célébrées avant la fin de la nuit durant le temps de l’Avent. Avec pour seule lumière celle des bougies, cette liturgie fait de chaque fidèle un guetteur d’aurore qui attend dans l’espérance l’événement de Noël, l’avènement du Christ.

D’origine allemande, la tradition des messes Rorate remonte au Moyen-Âge où elle était présente dans toute l’Europe.

Le terme Rorate vient du latin et plus particulièrement du chant grégorien Rorate caeli, chant d’entrée de la messe du quatrième dimanche de l’Avent. Il s’agit d’une citation du livre d’Isaïe :

« Rorate caeli desuper, et nubes pluant iustum ; aperiatur terra, et germinet Salvatorem. »
« Cieux, faites venir le Juste comme une rosée, qu’il descende des nuées comme une pluie bienfaisante : que la terre s’entrouvre et donne naissance au Sauveur. » (Is 45, 8)

Ces messes sont une belle façon d’ouvrir notre cœur à la venue du Dieu fait homme, et de se préparer à la naissance de l’Emmanuel, Dieu avec nous.

Depuis quelques années le sanctuaire de Sainte Rita propose une messe, trois jours de suite, les 16 - 17 - 18 décembre, à 6h30, avant le lever du soleil.

Les messes Rorate, ou messes de l’Attente, sont célébrées avant la fin de la nuit durant le temps de l’Avent. Avec pour seule lumière celle des bougies, cette liturgie fait de chaque fidèle un guetteur d’aurore qui attend dans l’espérance l’événement de Noël, l’avènement du Christ.

D’origine allemande, la tradition des messes Rorate remonte au Moyen-Âge où elle était présente dans toute l’Europe.

Le terme Rorate vient du latin et plus particulièrement du chant grégorien Rorate caeli, chant d’entrée de la messe du quatrième dimanche de l’Avent. Il s’agit d’une citation du livre d’Isaïe :

« Rorate caeli desuper, et nubes pluant iustum ; aperiatur terra, et germinet Salvatorem. »
« Cieux, faites venir le Juste comme une rosée, qu’il descende des nuées comme une pluie bienfaisante : que la terre s’entrouvre et donne naissance au Sauveur. » (Is 45, 8)

Ces messes sont une belle façon d’ouvrir notre cœur à la venue du Dieu fait homme, et de se préparer à la naissance de l’Emmanuel, Dieu avec nous.

Depuis ses origines, le sanctuaire de Sainte-Rita conserve cette tradition de célébrer qu'une seule liturgie, à minuit, dans la nuit de Noël.

Pour comprendre la signification de la messe de Noël, il faut remonter le temps jusqu'à l'an 336. Au IVe siècle, les Romains célébraient le solstice d'hiver le 25 décembre , afin d'honorer la renaissance du dieu soleil. Constantin, premier empereur chrétien, choisit de s'appuyer sur cette date symbolique pour fêter la naissance du Christ qui, elle aussi, apporte la lumière sur l'humanité.

Mais la première liturgie de la nuit apparaît au Moyen Âge. Elle est célébrée par le pape Grégoire à Rome, à minuit, dans la nuit du 24 au 25 décembre 590.

Pourquoi? Il est de tradition de penser que Jésus serait né à minuit. Cette heure a une portée symbolique forte : elle annonce un nouveau jour qui se lève. Au cœur de la nuit, les croyants célèbrent le passage de l'ombre à la lumière, comme l'annonçait déjà, dans la Bible, le prophète Isaïe: "Le peuple qui marchait dans les ténèbres a vu se lever une grande lumière" (Is 9,1).

Les chrétiens sont invités à écouter la parole des anges et, comme les bergers, à aller à la rencontre de l'enfant Jésus pour répandre la joie. Une joie qui comme le rappelle l'Évangile selon saint Luc, sera "celle de tout le peuple: aujourd'hui vous est né un Sauveur, qui est le Christ Seigneur, dans la ville de David" (Lc 2, 11).

Plus largement, la Tradition prévoit même trois liturgies:

1 ère : la nuit de Noël s'ouvre par la messe de Minuit [bien qu'elle soit souvent devancée, dans les paroisses, la veille comme ''Messe de la nuit'', souvent pour le bien des enfants] qui célèbre l'accomplissement de la promesse faite par Dieu au peuple hébreu: l'envoi d'un Sauveur.

2 ème : Ensuite, vers la fin de la nuit, la messe de l'Aurore commence et permet aux fidèles d'accueillir la lumière naissante de Jésus dans leur âme.

3 ème : Enfin, le lendemain, en matinée, les chrétiens fêtent la naissance corporelle du Messie lors de la messe du Jour.

Ces trois célébrations accompagnent les croyants dans l'accueil de la Bonne Nouvelle entre le soir du 24 et le matin du 25 décembre.

Tous les 29 du mois, à 19h, la dévotion à St-Michel est devenue un moment fort où nous lui demandons de protéger la vie spirituelle de tous les fidèles qui fréquentent notre sanctuaire mais aussi l'Eglise tout-entière.

Saint Michel Archange est l'un des saints les plus vénérés de l'Église catholique. Connu comme le chef des armées célestes, il est un puissant protecteur et un modèle de courage et de fidélité à Dieu.

Saint Michel est mentionné dans la Bible à plusieurs reprises, notamment dans le Livre de l'Apocalypse, où il est décrit comme le chef des armées célestes qui mène les anges dans la bataille contre le dragon, symbole de Satan. Son nom, Michel, signifie Qui est comme Dieu?, ce qui reflète son rôle de défenseur de la gloire divine.

"Saint Michel Archange, défendez-nous dans le combat; soyez notre secours contre la malice et les embûches du démon. Que Dieu exerce sur lui son empire, nous le demandons en suppliant; et vous, Prince de la milice céleste, repoussez en enfer, par la force divine, Satan et les autres esprits mauvais qui rôdent dans le monde en vue de perdre les âmes. Amen".

Cette prière, connue sous le nom de prière de Saint Michel, est souvent récitée pour obtenir sa protection et son aide dans les moments de danger spirituel.

Une messe sera célébrée à 17h30, au sanctuaire de Sainte-Rita afin de rendre grâce pour l'année écoulée, celle de 2025. Nous y vivrons le TE DEUM, cet hymne qui remonte au tout début du christianisme.

En effet, TE DEUM vient des premiers mots de l’hymne latine d’action de grâces : « A toi, Dieu, notre louange ». Elle fut composée à la fin du IVe siè­cle ou au début du Ve par Nicetas, évêque de Remesiana, ville située en Dacie méditerranéenne (actuellement : bord méditerranéen de la Roumanie). La tradition ancienne nomme cette pièce vénérable l’« Hymne ambrosienne », car une légende en attribuait la composition à saint Ambroise, inspiré par l’Esprit Saint au moment où saint Augustin sortait de la piscine baptismale.

Cette doxologie solennelle développe la louange dans le style des Préfaces (elle inclut le Sanctus) : à côté des anges, les apôtres, les prophètes et les martyrs sont conviés à. chanter, avec l’Église de la terre, la Gloire des trois Personnes divines ; l’œuvre de salut opérée par le Christ Rédempteur est résumée, et l’hymne s’achève par une série d’appels empruntés aux Psaumes. Le Te Deum est chanté en cette fin d’année. Il constitue le chant privilégié des actions de grâces extraordinaires.

Une messe sera célébrée à 11h et 17h30, au sanctuaire de Sainte-Rita, le 01 jenvier, afin de méditer sur le mystère de l'Incarnation sous l'angle de "Marie, Mère de Dieu".

Nous profiterons de cette occasion pour invoquer l'Esprit Saint afin qu'Il nous guide durant toute cette année nouvelle de 2025. Nous chanterons d'un même coeur le "Veni Creator Spiritus".

Le Veni Creator Spiritus, ou "Viens Esprit Créateur" en français, est un hymne grégorien composé au IXème siècle. La structure en sept quatrains fait sans doute référence aux sept dons de l’Esprit Saint que sont la sagesse, le conseil, la force, la crainte, la piété, la science et l’intelligence. Ce chant liturgique du rite latin a été traduit en français : il existe une traduction liturgique officielle. Il est chanté par les catholiques aussi bien que par la plupart des autres Églises chrétiennes, et a été repris par de nombreux compositeurs. C’est sans doute la prière au Saint-Esprit la plus célèbre.

Montre-toi le défenseur et l’ami

des hommes sauvés par ton sang :

prends-les avec tous les saints

dans ta joie et dans ta lumière.

“Viens, Esprit Créateur nous visiter,

Viens éclairer l'âme de tes fils,

Emplis nos cœurs de grâce et de lumière,

Toi qui créas toute chose avec amour,

Toi le don, l'envoyé du Dieu très haut,

Tu t'es fait pour nous le défenseur,

Tu es l'amour, le feu, la source vive,

Force et douceur de la grâce du Seigneur,

Donne-nous les sept dons de ton amour,

Toi le doigt qui œuvres au nom du Père,

Toi dont il nous promit le règne et la venue,

Toi qui inspires nos langues pour chanter,

Mets en nous ta clarté, embrase-nous,

En nos cœurs, répands l'amour du Père,

Viens fortifier nos corps dans leur faiblesse,

Et donne-nous ta vigueur éternelle,

Chasse au loin l'ennemi qui nous menace,

Hâte-toi de nous donner la paix,

Afin que nous marchions sous ta conduite,

Et que nos vies soient lavées de tout péché,

Fais-nous voir le visage du Très-Haut,

Et révèle-nous celui du Fils,

Et toi l'Esprit commun qui les rassemble,

Viens en nos cœurs, qu'à jamais nous croyions en toi,

Gloire à Dieu notre Père dans les cieux,

Gloire au Fils qui monte des enfers,

Gloire à l'Esprit de force et de sagesse,

Dans tous les siècles des siècles,

Amen.”

Pourquoi adorer le Christ ?

♦ L’adoration eucharistique est une attitude de prière devant le Saint-Sacrement (l’Eucharistie). Le corps du Christ est réellement présent dans l’hostie consacrée lorsque celui-ci est exposé et adoré par les fidèles.

♦ L’objectif commun de la célébration et de l’adoration de l’Eucharistie est de permettre au fidèle de s’approcher de l’amour de Dieu et d’y adhérer personnellement pour tendre à s’unir avec le Christ, entrant ainsi dans la dynamique de l’amour trinitaire. L’adoration eucharistique en dehors de la messe prolonge et intensifie ce qui est réalisé durant la célébration liturgique elle-même. Elle vise plus particulièrement à entretenir une relation d’intime amitié avec le Christ.

♦ L’adoration est une grande source de vocations. Elle est une source de renouvellement spirituel et d’évangélisation pour les fidèles et pour l’Église entière.

Ce dimanche nous fêterons l'épiphanie du Seigneur. Qu'est-ce que c'est? Et pourquoi il est de tradition en France de manger la galette des rois ce jour-même?

Selon le site de la conférence des évêques de France, on apprend que la fête est venue d’Orient où elle a été fixée au 6 janvier : fête des lumières, fête de l’eau, elle est beaucoup plus la célébration de l’inauguration du ministère public du Christ, lors de son baptême au Jourdain, qu’une festivité des événements de l’enfance de Jésus.

Dans la liturgie latine, là où ce jour n’est pas férié, la célébration de cette fête est fixée au dimanche le plus proche du 6 janvier, afin que le plus grand nombre des fidèles puissent la commémorer.

En Occident, elle est surtout la fête des Mages ou des « Rois ». Les manifestations inaugurales de la vie publique ne sont pas oubliées, puisque l’office de la fête parle des trois mystères de ce jour comme n’en faisant qu’un : l’adoration des Mages, le baptême de Jésus et les noces de Cana ; il faut dire cependant que les Mages retiennent presque toute l’attention.

Par cette fête, nous fêtons donc la venue des Rois Mages qui apportèrent des "présents : de l’or, de l’encens et de la myrrhe" nous dit l’évangéliste Matthieu (Mt 2,11). L'or pour la royauté de Jésus, l'encens pour signifier sa divinité car il est Fils de Dieu, et la myrrhe pour indiquer qu'il allait être mis à mort.

Mais alors pourquoi la galette des Rois ?

Pour comprendre cette tradition, il faut remonter à l'époque des romains. En effet selon le site GEO, durant l'Antiquité, les Romains célébraient les Saturnales durant la semaine du solstice d'hiver (du 17 au 23 décembre). Cette fête était l'occasion d'abolir toutes barrières sociales, notamment entre maîtres et esclaves. Le célèbre historien du Ier siècle, Tacite, évoque la tradition du "Roi du jour" : un banquet au cours duquel un esclave est tiré au sort dans chaque famille. Désigné "Prince des Saturnales", il a le droit d'exaucer tous ses désirs. L'expression "tirer les rois" prend alors tout son sens.

Mais la tradition de la galette des Rois s'inscrit surtout dans la religion catholique. Les Rois mages sont cités dans l'Évangile de Saint Mathieu, sans que l'on ne sache ni leur nombre ni leur nom : ce n'est qu'au VIe siècle qu'il est fait mention de Gaspard, Melchior et Balthazar. Toutefois, on célèbre leur arrivée à Bethléem depuis les débuts de l'ère chrétienne en partageant une galette le 6 janvier, jour de l’Épiphanie.

Cette célébration a fini par se confondre avec la tradition héritée des Saturnales, à laquelle elle emprunte la fève, mais aussi le fait que ce soit le convive le plus jeune qui désigne la personne à qui aura la prochaine part de galette. Jusqu'au XVIIe siècle, la galette des Rois est l'occasion de désigner la reine d'un jour à la cour du roi de France, la grande dame obtenant la fève pouvant demander une faveur au roi.

Sources: https://eglise.catholique.fr/approfondir-sa-foi/la-celebration-de-la-foi/les-grandes-fetes-chretiennes/epiphanie/

Pour en savoir plus sur la galette des Rois : https://www.geo.fr/histoire/galette-des-rois-histoire-dune-tradition-gourmande-212955

Le baptême de Jésus, célébré le dimanche qui suit l’Épiphanie, est un des événements de la vie de Jésus les plus assurés historiquement. Les quatre évangélistes le mentionnent.

C’est la première manifestation publique du Christ. Lors de sa naissance à Bethléem, il n’avait été révélé qu’à quelques privilégiés. Aujourd’hui, tous ceux qui entourent le Baptiste, c’est-à-dire ses disciples et la foule venue aux bords du Jourdain, sont témoins d’une manifestation plus solennelle, que Jean soulignera d’ailleurs lui-même.

Elle comporte deux aspects : l’aspect d’humilité représenté par le baptême auquel le Seigneur se soumet. L’aspect de gloire représenté par le témoignage humain que lui rend Jean le Baptiste et le témoignage divin que le Père et l’Esprit rendent au Fils, la garantie que cet homme appartient bien à la Trinité divine.

Ces deux aspects sont à retenir dans l’histoire des hommes comme dans la vie intérieure et spirituelle de chaque homme. Les séparer, c’est commettre une erreur. Nous ne pouvons pas nous approcher du Christ glorifié sans nous approcher en même temps du Christ humilié, ni nous approcher du Christ humilié sans nous approcher du Christ glorifié.

Nous ne pouvons approcher et accueillir les hommes, nos frères, qu’en acceptant leur humble condition, leurs misères, leurs limites et, dans le même temps, de voir en eux des fils de Dieu, bien-aimés par le Père, appelés à partager la gloire du Royaume.

La grâce du baptême

Étant la plénitude de notre humanité, Jésus, en recevant le baptême johannique a fait plus qu’approuver et confirmer un rite. Il l’a transformé en consumant en Lui l’imparfait par le parfait. Lui qui était sans péché, il s’est fait porteur de nos péchés et c’est au nom de nous tous qu’il a fait ce geste public de repentance, nous enseignant dans le même temps la nécessité de la conversion et de la pénitence.

En évoquant cet événement de la vie du Christ, nous devons dépasser l’horizon du baptême johannique pour nous rappeler que nous avons été baptisés en Christ. Cette grâce baptismale que nous avons reçue, inconscients, dans notre enfance, nous avons à la confirmer chaque jour par un libre choix. L’Épiphanie est non seulement la fête du Baptême du Christ, elle est celle de notre baptême dont nous avons à raviver la grâce qu’il nous a conférée.

Saint Matthieu rappelle la mission de Jésus, le Messie, telle que le prophète Isaïe l’avait annoncée : "Pour ceux qui se trouvaient dans le sombre pays de la mort, une lumière s’est levée. » (Matthieu 12. 16) L’ancienne tradition grecque appelait d’ailleurs l’Epiphanie « la fête des lumières. » Elle nous apporte, en effet, non seulement une grâce de purification par la repentance à laquelle nous sommes appelés par Jean-Baptiste et à laquelle Jésus nous invite par son exemple. Elle nous apporte une grâce d’illumination. La liturgie nous le signifie. C’est dans la lumière pascale qu’est donné le baptême, après l’éclipse du Vendredi Saint et la nuit du tombeau.

A nous de vivre cette lumière intérieure dans une absolue fidélité, sans laquelle la vie spirituelle ne serait qu’illusion ou mensonge, sans laquelle tout témoignage auprès de nos frères serait vain. Comme le Christ, nous sommes « lumière du monde » (Matthieu 5. 14) « Devenons fils de lumière » (Jean 12. 36) « Vivons en fils de lumière » (Ephésiens 5. 8)

Jésus le serviteur

Par ce baptême qui inaugure son ministère, Jésus manifeste le but de sa mission. Il est le « serviteur-sauveur » dont parle Isaïe au chapitre 53. Il est l’Agneau de Dieu (Jean 1. 29) qui délivre l’homme du péché en le prenant sur lui. La parole qui vient du ciel le désigne comme le fils bien-aimé. Le mot grec qui traduit l’hébreu « serviteur » peut avoir aussi la signification de « fils ». En Isaïe, Dieu avait présenté son serviteur : »Voici mon serviteur, mon élu, que préfère mon âme. » (Isaïe 42. 1) Jean Baptiste a entendu : » C’est toi mon Fils bien-aimé, en toi j’ai mis tout mon amour. » (Marc 1. 11).

Pas à pas, jour après jour, toute la vie de Jésus fera découvrir aux disciples la vérité de cette double réalité : il est le serviteur, il est le Fils, jusqu’à sa mort en croix, quand le soldat païen dira : « Vraiment celui-ci était fils de Dieu. » (Marc 15. 39) signant ainsi son adhésion au mystère révélé sur les rives du Jourdain.

La résurrection manifestera aux disciples que la mort de Jésus n’était pas celle d’un maudit, d’un exclu, mais le libre don de soi, un sacrifice agréable à Dieu parce qu’il est le fruit non pas d’une soumission mais de l’amour filial et fraternel. Et là encore nous retrouvons les deux aspects de l’être de Jésus : l’humilité et la gloire. Dans le quatrième évangile, à l’heure de la Passion, le nom propre du témoignage rendu par le Père à son Fils est la « glorification »: « Père, l’heure est venue : glorifie ton Fils. » (Jean 17. 1)

Une théophanie trinitaire

La connaissance que nous avons du Christ ne s’achève pas dans le seul face-à-face du Père et du Fils. L’Esprit est le troisième qui témoigne de la vie divine de Jésus. Celui-ci le rappelle à Nicodème et c’est l’Esprit qu’il enverra à ceux qui croient en lui. Le Père et le Fils enverront l’Esprit au long des âges. (Jean 14. 16 à 20 – 15. 26 à 16.15)

L’Esprit peut nous être donné à partir du Fils parce qu’il habite souverainement en lui. Il n’est donc pas étonnant que la mission de Jésus débute, temporellement, par une manifestation de l’Esprit liée à son Baptême et qu’elle se termine, visiblement, par le commandement donné aux Apôtres d’aller baptiser au nom du Père et du Fils et de l’Esprit. (Matthieu 28. 19) Par le baptême, l’Esprit est communiqué à ceux qui s’ouvrent à la foi.

Le Père, le Fils et l’Esprit, révélés au monde lors du baptême de Jésus, sont inséparables parce qu’ils sont relation d’amour. Nous touchons là à ce qu’il y a de plus profond et de plus intime dans le mystère de Jésus. Le ministère rédempteur du Christ en faveur des hommes rejoint la vie d’intimité du Fils avec le Père et l’Esprit.

C’est ainsi qu’il sera désormais avec nous. C’est cela qu’il exprime dans sa prière au soir du Jeudi-Saint, alors qu’il vient de partager son Corps et son Sang durant le repas qu’il prit avec ses apôtres. A nous de le réaliser en chaque Eucharistie où, nous aussi, nous partageons son Corps et son Sang « pour la Gloire de Dieu et le salut du monde. »

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« Afin que notre vie ne soit plus à nous-mêmes, mais à Lui qui est mort et ressuscité pour nous, il a envoyé d’auprès de toi, comme premier don fait aux croyants, l’Esprit qui poursuit son œuvre dans le monde et achève toute sanctification. Que ce même Esprit-Saint, nous t’en prions, Seigneur, sanctifie ces offrandes. » (Prière eucharistique 4)

« Dieu éternel et tout-puissant accorde à tes fils adoptifs, nés de l’eau et de l’Esprit, de se garder toujours dans ta sainte volonté. » (Prière d’ouverture de la messe).

Tous les 29 du mois, à 19h, la dévotion à St-Michel est devenue un moment fort où nous lui demandons de protéger la vie spirituelle de tous les fidèles qui fréquentent notre sanctuaire mais aussi l'Eglise tout-entière.

Saint Michel Archange est l'un des saints les plus vénérés de l'Église catholique. Connu comme le chef des armées célestes, il est un puissant protecteur et un modèle de courage et de fidélité à Dieu.

Saint Michel est mentionné dans la Bible à plusieurs reprises, notamment dans le Livre de l'Apocalypse, où il est décrit comme le chef des armées célestes qui mène les anges dans la bataille contre le dragon, symbole de Satan. Son nom, Michel, signifie Qui est comme Dieu?, ce qui reflète son rôle de défenseur de la gloire divine.

"Saint Michel Archange, défendez-nous dans le combat; soyez notre secours contre la malice et les embûches du démon. Que Dieu exerce sur lui son empire, nous le demandons en suppliant; et vous, Prince de la milice céleste, repoussez en enfer, par la force divine, Satan et les autres esprits mauvais qui rôdent dans le monde en vue de perdre les âmes. Amen".

Cette prière, connue sous le nom de prière de Saint Michel, est souvent récitée pour obtenir sa protection et son aide dans les moments de danger spirituel.

La Présentation de Jésus au Temple, célébrée le 2 février dans le calendrier liturgique, est un événement fondamental du Nouveau Testament, relaté dans l’Évangile de Luc (Luc 2:22-40). Cet événement a plusieurs dimensions spirituelles riches et profondes qui méritent d’être explorées.

1. Accomplissement des Écritures

La Présentation de Jésus au Temple est une réalisation de la Loi juive. Selon la loi de Moïse, tout premier-né devait être consacré au Seigneur (Exode 13:2), et la purification de Marie après l’accouchement incluait une offrande au Temple (Lévitique 12:2-8). Cet acte souligne que Jésus est pleinement ancré dans la tradition juive et qu’il vient accomplir la Loi. Cela montre aussi l’obéissance de Marie et Joseph à la volonté divine.

2. Révélation de la Lumière du Monde

Lorsque Simeon prend Jésus dans ses bras, il le reconnaît comme “lumière pour éclairer les nations” (Luc 2:32). Cela symbolise la mission universelle de Jésus. Il n’est pas seulement le Messie pour Israël, mais il vient apporter la lumière et le salut à tous les peuples. Cette révélation encourage les croyants à être des témoins de cette lumière dans leur propre vie, en partageant l’amour et la vérité du Christ avec le monde.

3. La Rencontre avec la Promesse

La rencontre de Simeon et d’Anne avec Jésus au Temple illustre le thème de l’attente et de la promesse. Simeon, qui avait reçu la promesse de voir le Messie avant sa mort, exprime sa joie et sa paix en voyant Jésus. Cela nous rappelle l’importance de la foi et de la patience dans notre propre vie spirituelle. Nous sommes invités à faire confiance aux promesses de Dieu, même lorsque nous ne les voyons pas immédiatement se réaliser.

4. La Présence de Dieu dans le Quotidien

La Présentation de Jésus au Temple nous rappelle que la rencontre avec Dieu peut se produire dans les moments ordinaires de la vie. Jésus, en tant que petit enfant, est présenté dans un lieu de dévotion, mais aussi de routine. Cela nous encourage à chercher la présence de Dieu dans notre quotidien, à reconnaître que chaque acte de foi, aussi simple soit-il, peut être une rencontre sacrée avec le divin.

5. Un Acte de Détachement

La réaction de Marie et Joseph face aux paroles de Simeon, qui annonce que Jésus sera un signe de contradiction et que “une épée transpercera ton âme” (Luc 2:35), annonce les défis et les souffrances que Jésus et sa mère devront affronter. Cela nous invite à réfléchir sur le détachement et la capacité d’accepter la souffrance comme partie intégrante de notre chemin de foi. La vie chrétienne n’est pas seulement marquée par la joie, mais aussi par des moments de sacrifice et d’épreuve.

Conclusion

La Présentation de Jésus au Temple est un événement riche en signification spirituelle. Elle nous rappelle l’importance de l’obéissance à Dieu, de l’attente de ses promesses, de la recherche de sa lumière et de sa présence dans notre vie quotidienne. Cet événement invite également à une réflexion sur notre propre engagement envers notre foi, sur notre capacité à accueillir Jésus dans nos cœurs et à partager cette lumière avec le monde. En méditant sur cet événement, nous sommes appelés à approfondir notre relation avec Dieu et à vivre notre foi avec un sens renouvelé de mission et d’espérance.

A l'occasion de la fête de la présentation du Seigneur au Temple, un moment d'adoration animée aura lieu de 16h à 16h45 pour laisser place ensuite à un chapelet. Vous êtes donc tous invités à vous joindre à ce moment de prière pour les religieux et religieuses, et notamment pour que le Seigneur continue d'appeler des jeunes à la vie religieuse.

La vie religieuse, des formes de vies particulières

La vie religieuse fait partie de l'Église. Elle se caractérise par des engagements, comme celui du célibat. Selon la forme de vie consacrée choisie, certains vivent en communauté, d'autres mènent des vies érémitiques. Mais toujours la place de la prière reste essentielle. Il existe donc des formes de vie religieuse dites apostoliques, c'est-à-dire "une vie religieuse active dans le monde mais avec une vie de prière forte". La vie religieuse monastique, qui concerne les moines et moniales, se vit plus en retrait du monde.

Mais qu'elle soit monastique ou apostolique, la vie religieuse est toujours "au service de Dieu en étant au service des autres". D'ailleurs l'engagement religieux est toujours allé de pair avec le service des pauvres, l'éducation, le soin.

Une vie inspirée par le Christ

Dans le monde juif et dans le monde antique, cette forme de vie était très peu répandue. Si bien qu'on peut dire que la vie religieuse est née avec l'Évangile, "de la vie même du Christ", observe Soeur Nathalie Becquart, religieuse xavière. "Il a été célibataire, il a tout donné jusqu'à sa vie pour annoncer le royaume de Dieu, de son père, il a appelé des disciples, des apôtres, dont certains on choisi cette vie d'itinérance avec lui."

Ainsi, faire le choix de la vie religieuse, c'est, fondamentalement, vouloir vivre comme le Christ. Dès l'apparition des premières communautés chrétiennes, des hommes et des femmes ont fait le choix de cette "radicalité-là". Saint Paul en parle déjà dans ses Epîtres.

Brève histoire des ordres religieux

Après l'exemple de vie à la suite du Christ donné par les premières communautés chrétiennes, il faut attendre les IIIe et IVe siècles pour voir se développer une vie monastique à proprement parler. C'est-à-dire après la réforme de Constantin qui a permis au christianisme de ne plus être une religion contestataire. On doit à Benoît de Nursie (v. 480-v. 543) la première grande règle de vie monastique. Et l'ordre que l'on a appelé les Bénédictins.

Plus tard sont apparus les ordres mendiants, aux XIIe et XIIIe siècles, comme les Franciscains - l'ordre fondé par saint François d'Assise (v. 1181-1226), ou les Dominicains, à la suite de Dominique de Guzmán (1170-1221). Et au XVIe siècle, avec les bouleversements de l'époque moderne de nouvelles familles spirituelles apparaissent. Ignace de Loyola (1491-1556) fonde par exemple la compagnie de Jésus, approuvée officiellement par le pape en 1540. Ordre qui a aussi donné naissance à toute une famille spirituelle, la famille ignatienne, à laquelle appartiennent notamment les Oblats de la Vierge Marie.

Pourquoi une journée de la vie consacrée ?
Initiative de Jean-Paul II en 1997, la journée de la vie consacrée a lieu chaque année le 2 février dans le but de mettre en lumière et de célébrer le rôle des personnes engagées dans la vie consacrée au sein de l’Église catholique.

Une journée placée en premier lieu sous le signe de l’action de grâce « parce qu’il est beau et juste de remercier le Seigneur pour le grand don de la vie consacrée, qui enrichit et réjouit l’Église par la multiplicité des charismes et le dévouement de tant de vies totalement données au Seigneur et aux frères ».

L’objectif de cette journée est aussi de mieux connaître et apprécier la vie consacrée. « En contemplant le don de la vie consacrée, l’Église contemple sa vocation la plus profonde, celle de n’appartenir qu’à son Seigneur, soulignait Jean-Paul II. La vie consacrée a pour mission prioritaire de garder vivante dans l’Église la forme historique de vie assumée par le Fils de Dieu quand il est venu sur cette terre ».

Cette journée est enfin une invitation pour toutes les personnes consacrées « à célébrer ensemble et solennellement les merveilles que le Seigneur a accomplies en elles. Pour cela elles sont conviées à réfléchir sur le don reçu, à découvrir, dans un regard de foi toujours plus pur, le rayonnement de la beauté divine diffusé par l’Esprit dans leur forme de vie, à prendre conscience de leur mission incomparable dans l’Église pour la vie du monde »

Pourquoi cette journée se déroule-t-elle le 2 février ?
La journée de la vie consacrée est célébrée en la fête de la Présentation du Seigneur au temple. La présentation de Jésus au temple, consacré selon la prescription rituelle de l’époque au Seigneur comme tout garçon premier né, annonce le don de Jésus par amour de Dieu et des hommes et l’offrande suprême de la Croix. Cette journée a donc une importance particulière pour toute personne consacrée, qui, inspirée par le don bouleversant du Christ, aspire à son tour à donner sa vie et à tout abandonner pour marcher à sa suite.

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Vous verrez ici bas une petite partie de la grande diversité des ordres et congrégations de consacrés, hommes et femmes, dans l'Eglise catholique. Nous ne pouvons que nous émerveiller de l'action de l'Esprit qui suscite des fondateurs et des charismes multiples, sans oublier le désir d'un radicalisme évangélique qui surgit du baptême et saisit toute la personne.

Pourquoi adorer le Christ ?

♦ L’adoration eucharistique est une attitude de prière devant le Saint-Sacrement (l’Eucharistie). Le corps du Christ est réellement présent dans l’hostie consacrée lorsque celui-ci est exposé et adoré par les fidèles.

♦ L’objectif commun de la célébration et de l’adoration de l’Eucharistie est de permettre au fidèle de s’approcher de l’amour de Dieu et d’y adhérer personnellement pour tendre à s’unir avec le Christ, entrant ainsi dans la dynamique de l’amour trinitaire. L’adoration eucharistique en dehors de la messe prolonge et intensifie ce qui est réalisé durant la célébration liturgique elle-même. Elle vise plus particulièrement à entretenir une relation d’intime amitié avec le Christ.

♦ L’adoration est une grande source de vocations. Elle est une source de renouvellement spirituel et d’évangélisation pour les fidèles et pour l’Église entière.

Durant la messe de Notre-Dame de Lourdes, le 11 février, à la messe de 17h30, nous célèbrerons l'onction des malades pour les personnes affaiblies ou malades (voir ci-bas).

Vous devez rencontrer impérativement un prêtre-oblat afin de discerner avec lui sur l'opportunité ou non de recevoir ce sacrement et surtout, pour vous y inscrire et y être préparé.

Feuillet pour la messe retransmise sur internet

1. Dès les origines : une onction pour les malades

L’Onction des malades est insinuée par l’évangéliste Marc, lorsque Jésus envoie ses apôtres en mission dans les bourgades environnantes pour annoncer la Bonne Nouvelle : « Étant partis, les Douze prêchèrent qu’on se repentît ; et ils chassaient beaucoup de démons et faisaient des onctions d’huile à de nombreux infirmes et les guérissaient. » (Mc, VI, 12)

Cette onction qui existe donc du temps de Jésus est recommandée et promulguée par la lettre de saint Jacques comme un rituel spécifique pour les malades de la communauté chrétienne, accomplie par les prêtres (presbytres) : « Quelqu’un parmi vous est-il malade ? Qu’il appelle les presbytres de l’Église et qu’ils prient sur lui après l’avoir oint d’huile au nom du Seigneur. La prière de la foi sauvera le patient et le Seigneur le relèvera. S’il a commis des péchés, ils lui seront remis. » (Jc, V, 13-15)

• Qui peut recevoir l’onction des malades ?

Depuis le concile Vatican II, l’Église a souhaité retrouver une application plus large de ce sacrement : « “L’extrême-onction”, qu’on peut appeler aussi et mieux l’Onction des malades n’est pas seulement le sacrement de ceux qui se trouvent à la dernière extrémité. Aussi, le temps opportun pour le recevoir est déjà certainement arrivé lorsque le fidèle commence à être en danger de mort par suite d’affaiblissement physique ou de vieillesse. » (Sacrosanctum concilium, 73)

L’onction des malades est un sacrement destiné aux personnes baptisées, (quel que soit leur âge) :

• éprouvées par une maladie grave ;
• un handicap lié à la vieillesse ou à un accident ;
• dont la santé se détériore ;
• ou encore devant subir une opération sérieuse à l’issu incertain.
• Autant que possible, ce sacrement doit être administré aux personnes qui approchent du « grand passage », de la mort.

En cas d’aggravation de la maladie, elle peut être réitérée.

• La célébration de l’Onction des malades

Seuls les prêtres sont les ministres de ce sacrement, selon ce qui est indiqué par saint Jacques.

L’Onction se fait avec l’huile consacrée par l’évêque lors de la messe chrismale : « le rectorat local demandera les huiles à son Évêque propre. » (CIC, can. 847)

Elle est généralement précédée du sacrement du Pardon et suivie de l’Eucharistie, qu’elle soit intégrée dans une messe ou que le malade communie seulement, comme c’est le cas pour le viatique.

La cérémonie commence par l’imposition des mains et une prière sur les malades. Le geste de l’imposition des mains renvoie peut-être à la prescription de Jésus à ses disciples avant son Ascension : « Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru : [...] ils imposeront les mains aux infirmes, et ceux-ci seront guéris. » (Mc, XVI, 17 et 18).

Puis le prêtre fait les onctions sur le front et les mains en disant :

« N..., par cette onction sainte, que le Seigneur en sa grande bonté vous réconforte par la grâce de l’Esprit Saint. Ainsi, vous ayant libéré de tous péchés, qu’Il vous sauve et vous relève. »

• Les effets de l’Onction des malades

Ce sacrement est un don particulier de l’Esprit Saint qui aide à envisager l’épreuve plus sereinement : réconfort, paix, courage.

La rémission des péchés, et, éventuellement, celle de la maladie, ces deux dimensions sont bien indiquées par saint Jacques : « La prière de la foi sauvera le malade et le Seigneur le relèvera. S’il a commis des péchés, ils lui seront remis. » L’Onction des malades ne se substitue pas à la Pénitence, mais la complète. Dans l’ancien mode d’administration de ce sacrement, qui consistait en une onction sur chacun des organes des cinq sens, on accordait ainsi le pardon de Dieu pour les péchés commis avec cet organe.

« Nous sommes guéris spirituellement par la Pénitence. Spirituellement et corporellement, selon ce qui convient à l’âme, par l’Extrême-Onction. » (Concile de Florence, 1439).

• Souffrir et mourir avec le Christ par Son Eglise

La souffrance du malade n’est pas un isolement tragique pour le chrétien car Dieu dans son amour pour nous est proche des souffrants par sa Passion dont ce sacrement est un signe. L’Église « exhorte les malades à s’unir spontanément à la passion et à la mort du Christ pour contribuer ainsi au bien du Peuple de Dieu. » (Lumen Gentium, 11)

L’Onction des malades, même si elle n’est plus seulement « extrême-onction », ne demeure pas moins la préparation naturelle du chrétien à la rencontre en face-à-face avec Dieu :

« Le connaître, Lui, avec la puissance de sa résurrection et la communion à ses souffrances, Lui devenant conforme dans sa mort, afin de parvenir, si possible, à ressusciter d’entre les morts. » (Ph, III, 10-11)

• Onction des malades et viatique

La tradition de l’Eglise rapproche l’onction des malades à la communion au Corps du Christ : « À ceux qui vont quitter cette vie, l’Église offre, en plus de l’Onction des malades, l’Eucharistie comme viatique » (CEC, 1524)

Cette pratique a pour but de faire rentrer pleinement le chrétien dans l’amour de Dieu et elle tire sa force de la promesse du Christ :

« Qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle et moi, je le ressusciterai au dernier jour. » (Jn, VI, 54)

Dans le christianisme, le mercredi des Cendres (en latin Dies cinerum, « Jour des cendres ») désigne le premier jour du Carême (période de quarante jours précédant la fête de Pâques, où les chrétiens célèbrent la résurrection de Jésus). Il s’agit d’un jour de pénitence, où les chrétiens, sauf cas particuliers, sont invités à jeûner, à faire abstinence de viande et à participer à la messe du jour où ils reçoivent l’imposition des cendres.

On trouve des références à un rite des cendres, en lien avec la pénitence, dès l’Ancien Testament, notamment dans les livres de Daniel et de Jonas. En 325, le premier concile de Nicée préconise un jeûne de quarante jours pour se préparer à Pâques. C’est le pape Grégoire le Grand qui institue la coutume de tracer avec des cendres une croix sur le front des fidèles, pour les inviter à l’humilité et à la conversion: « Convertissez-vous et croyez à l’Évangile » (Mc 1,15), soit du livre de la Genèse : « Souviens-toi que tu es poussière et que tu retourneras en poussière » (Gn 3,19).

L’imposition des cendres évoque la fragilité de toute vie humaine et est aussi un appel à la conversion et un signe de la miséricorde de Dieu.

Les textes lus à la messe sont extraits du livre de Joël (Jl 2,12-18), du psaume 50, de la 2e lettre de Paul aux Corinthiens (2 Co 5,20–6,2) et de l’évangile de Matthieu (Mt 6,1-6.16-18). Dans ce dernier passage, Jésus explique à ses disciples comment bien vivre l’aumône, la prière et le jeûne: "Ainsi, quand tu fais l’aumône, ne fais pas sonner la trompette devant toi, comme les hypocrites qui se donnent en spectacle dans les synagogues et dans les rues, pour obtenir la gloire qui vient des hommes. Amen, je vous le déclare : ceux-là ont reçu leur récompense. Mais toi, quand tu fais l’aumône, que ta main gauche ignore ce que fait ta main droite".

Tous les vendredis de Carême, les fidèles se rassemblent pour le Chemin de Croix vécu en un lieu jubilaire, le Sanctuaire de Sainte-Rita.

Depuis vingt siècles, la mémoire des dernières heures de la vie de Jésus a retenu l’attention de l’Eglise et la piété des fidèles a trouvé dans le chemin de croix un moyen d’exprimer sa dévotion en dehors de la liturgie proprement dite. Le Vendredi Saint, l’Eglise nous fait suivre le Christ pas à pas dans le combat qu’il a accepté de vivre pour nous racheter de nos péchés.

Le chemin de croix qui accompagne Jésus vers sa mort est une contemplation active qui veut aider chacun à entrer dans le mystère de l’amour de Dieu, manifesté en son Fils. D’autre part, dans l’intercession pour le monde tel que Jésus l’a vécu en s’offrant sur la croix, une telle démarche ne peut se faire que dans la perspective de sa Résurrection à Pâques. Le chemin de croix apparaît donc comme un pèlerinage « en esprit », c’est pourquoi il touche celui qui l’entreprend sous trois aspects, tant physiques que spirituels : la marche, la méditation et l’intercession.

La marche
Pour épouser les sentiments du Christ, il est nécessaire d’avancer pas à pas. Pour entrer dans les profondeurs de l’amour du Père, il faut qu’un chemin se creuse, de station en station. Le déplacement physique invite à un déplacement intérieur. Il s’agit de se laisser façonner par la marche, de suivre le Christ pas à pas, de nous laisser conduire sur le chemin qu’il emprunte, et non de le précéder. Il s’agit d’entrer plus profondément dans notre condition de disciple.

La méditation
Le pas à pas s’accompagne du mouvement progressif de la méditation qui nous invite à faire mémoire du chemin accompli par Jésus lui-même. L’Evangile est le fondement de cette méditation qui appelle le pèlerin à une découverte progressive de la miséricorde du Père, en même temps qu’il est invité en contemplant Jésus anéanti sous les coups de la Passion, à reconnaître en lui le Christ, Serviteur de l’amour du Père pour notre humanité.

L’intercession
Tout pèlerinage s’accompagne de prière. Dans le cadre du chemin de croix, la prière voudrait prendre en charge toutes les situations de souffrance, d’épreuve, de détresse, de mort que nous rencontrons autour de nous dans la vie quotidienne ; toutes les vies des hommes de ce monde que le Christ, dans son mystère pascal, a offertes au Père.

La pratique du Chemin de croix peut se faire de manière solennelle, communautaire et processionnelle ou de manière privée, au sein d’une église ou même en pleine ville.

Quelles sont les stations du Chemin de croix ?
Le Chemin de la croix n’est pas un acte de sadomasochisme, il est l’unique qui vainc le péché, le mal et la mort, parce qu’il débouche sur la lumière radieuse de la résurrection du Christ, en ouvrant les horizons de la vie nouvelle et pleine. C’est le Chemin de l’espérance et de l’avenir. Celui qui le parcourt avec générosité et avec foi, donne espérance et avenir à l’humanité. Il sème l’espoir.

Les 14 stations du Chemin de croix

• 1e station : Jésus est condamné à mort
• 2e station : Jésus est chargé de sa croix
• 3e station : Jésus tombe sous le bois de la croix
• 4e station : Jésus rencontre sa Mère
• 5e station : Simon de Cyrène aide Jésus à porter sa croix
• 6e station : Véronique essuie la face de Jésus
• 7e station : Jésus tombe pour la seconde fois
• 8e station : Jésus console les filles de Jérusalem
• 9e station : Jésus tombe pour la 3e fois
• 10e station : Jésus est dépouillé de ses vêtements
• 11e station : Jésus est attaché à la croix
• 12e station : Jésus meurt sur la croix
• 13e station : Jésus est descendu de la croix et remis à sa mère
• 14e station : Jésus est mis dans le sépulcre
• (15e station : avec Marie, dans l'espérance de la résurrection).

Traditionnellement les Chemins de croix comptent 14 stations, aujourd’hui, on ajoute parfois une 15ème station, celle du tombeau vide qui relie ainsi, en finale, toutes les stations à la résurrection.

Tous les vendredis de Carême, les fidèles se rassemblent pour le Chemin de Croix vécu en un lieu jubilaire, le Sanctuaire de Sainte-Rita.

Depuis vingt siècles, la mémoire des dernières heures de la vie de Jésus a retenu l’attention de l’Eglise et la piété des fidèles a trouvé dans le chemin de croix un moyen d’exprimer sa dévotion en dehors de la liturgie proprement dite. Le Vendredi Saint, l’Eglise nous fait suivre le Christ pas à pas dans le combat qu’il a accepté de vivre pour nous racheter de nos péchés.

Le chemin de croix qui accompagne Jésus vers sa mort est une contemplation active qui veut aider chacun à entrer dans le mystère de l’amour de Dieu, manifesté en son Fils. D’autre part, dans l’intercession pour le monde tel que Jésus l’a vécu en s’offrant sur la croix, une telle démarche ne peut se faire que dans la perspective de sa Résurrection à Pâques. Le chemin de croix apparaît donc comme un pèlerinage « en esprit », c’est pourquoi il touche celui qui l’entreprend sous trois aspects, tant physiques que spirituels : la marche, la méditation et l’intercession.

La marche
Pour épouser les sentiments du Christ, il est nécessaire d’avancer pas à pas. Pour entrer dans les profondeurs de l’amour du Père, il faut qu’un chemin se creuse, de station en station. Le déplacement physique invite à un déplacement intérieur. Il s’agit de se laisser façonner par la marche, de suivre le Christ pas à pas, de nous laisser conduire sur le chemin qu’il emprunte, et non de le précéder. Il s’agit d’entrer plus profondément dans notre condition de disciple.

La méditation
Le pas à pas s’accompagne du mouvement progressif de la méditation qui nous invite à faire mémoire du chemin accompli par Jésus lui-même. L’Evangile est le fondement de cette méditation qui appelle le pèlerin à une découverte progressive de la miséricorde du Père, en même temps qu’il est invité en contemplant Jésus anéanti sous les coups de la Passion, à reconnaître en lui le Christ, Serviteur de l’amour du Père pour notre humanité.

L’intercession
Tout pèlerinage s’accompagne de prière. Dans le cadre du chemin de croix, la prière voudrait prendre en charge toutes les situations de souffrance, d’épreuve, de détresse, de mort que nous rencontrons autour de nous dans la vie quotidienne ; toutes les vies des hommes de ce monde que le Christ, dans son mystère pascal, a offertes au Père.

La pratique du Chemin de croix peut se faire de manière solennelle, communautaire et processionnelle ou de manière privée, au sein d’une église ou même en pleine ville.

Quelles sont les stations du Chemin de croix ?
Le Chemin de la croix n’est pas un acte de sadomasochisme, il est l’unique qui vainc le péché, le mal et la mort, parce qu’il débouche sur la lumière radieuse de la résurrection du Christ, en ouvrant les horizons de la vie nouvelle et pleine. C’est le Chemin de l’espérance et de l’avenir. Celui qui le parcourt avec générosité et avec foi, donne espérance et avenir à l’humanité. Il sème l’espoir.

Les 14 stations du Chemin de croix

• 1e station : Jésus est condamné à mort
• 2e station : Jésus est chargé de sa croix
• 3e station : Jésus tombe sous le bois de la croix
• 4e station : Jésus rencontre sa Mère
• 5e station : Simon de Cyrène aide Jésus à porter sa croix
• 6e station : Véronique essuie la face de Jésus
• 7e station : Jésus tombe pour la seconde fois
• 8e station : Jésus console les filles de Jérusalem
• 9e station : Jésus tombe pour la 3e fois
• 10e station : Jésus est dépouillé de ses vêtements
• 11e station : Jésus est attaché à la croix
• 12e station : Jésus meurt sur la croix
• 13e station : Jésus est descendu de la croix et remis à sa mère
• 14e station : Jésus est mis dans le sépulcre
• (15e station : avec Marie, dans l'espérance de la résurrection).

Traditionnellement les Chemins de croix comptent 14 stations, aujourd’hui, on ajoute parfois une 15ème station, celle du tombeau vide qui relie ainsi, en finale, toutes les stations à la résurrection.

Le 1er dimanche du Carême en 2026 tombera le 14 février. Ce moment marque le début d’une période de 40 jours de préparation spirituelle en vue de la célébration de Pâques. Voici quelques pistes de réflexion pour ce dimanche :

Thèmes principaux

1. La Tentation : Les lectures du 1er dimanche du Carême évoquent souvent les tentations de Jésus dans le désert (Matthieu 4:1-11, par exemple). Cette histoire rappelle que même Jésus a affronté des épreuves et des tentations. Cela nous invite à réfléchir sur nos propres luttes et sur la manière dont nous pouvons puiser dans notre foi pour les surmonter.
2. La Pénitence et la Conversion : Le Carême est un temps de conversion et de retour à Dieu. Ce dimanche peut être l’occasion de faire le point sur nos vies, d’identifier ce qui nous éloigne de notre relation avec Dieu et de prendre des résolutions pour nous rapprocher de Lui.
3. La prière, le jeûne et l’aumône : Ces trois pratiques sont des piliers du Carême. Ce dimanche peut être un moment pour réfléchir à la manière dont nous pouvons intégrer ces éléments dans notre vie quotidienne, non seulement comme des obligations, mais comme des expressions de notre foi et de notre amour pour les autres.

Questions de réflexion

• Quelles sont les tentations que je rencontre dans ma vie quotidienne, et comment puis-je les affronter avec foi ?
• Comment puis-je utiliser ce temps de Carême pour me rapprocher de Dieu et renforcer ma spiritualité ?
• Quelles actions concrètes puis-je entreprendre pour vivre pleinement les trois dimensions du Carême : prière, jeûne et aumône ?

Conclusion

Le 1er dimanche du Carême est une invitation à entrer dans un temps de réflexion et de renouveau. C’est l’occasion de se rappeler que, tout comme Jésus, nous sommes appelés à affronter nos défis avec courage et foi. En nous préparant pour Pâques, nous pouvons nous engager à vivre ce Carême comme un moment de transformation spirituelle, de croissance personnelle et de service envers les autres.

Tous les 29 du mois, à 19h, la dévotion à St-Michel est devenue un moment fort où nous lui demandons de protéger la vie spirituelle de tous les fidèles qui fréquentent notre sanctuaire mais aussi l'Eglise tout-entière.

Saint Michel Archange est l'un des saints les plus vénérés de l'Église catholique. Connu comme le chef des armées célestes, il est un puissant protecteur et un modèle de courage et de fidélité à Dieu.

Saint Michel est mentionné dans la Bible à plusieurs reprises, notamment dans le Livre de l'Apocalypse, où il est décrit comme le chef des armées célestes qui mène les anges dans la bataille contre le dragon, symbole de Satan. Son nom, Michel, signifie Qui est comme Dieu?, ce qui reflète son rôle de défenseur de la gloire divine.

"Saint Michel Archange, défendez-nous dans le combat; soyez notre secours contre la malice et les embûches du démon. Que Dieu exerce sur lui son empire, nous le demandons en suppliant; et vous, Prince de la milice céleste, repoussez en enfer, par la force divine, Satan et les autres esprits mauvais qui rôdent dans le monde en vue de perdre les âmes. Amen".

Cette prière, connue sous le nom de prière de Saint Michel, est souvent récitée pour obtenir sa protection et son aide dans les moments de danger spirituel.

Tous les vendredis de Carême, les fidèles se rassemblent pour le Chemin de Croix vécu en un lieu jubilaire, le Sanctuaire de Sainte-Rita.

Depuis vingt siècles, la mémoire des dernières heures de la vie de Jésus a retenu l’attention de l’Eglise et la piété des fidèles a trouvé dans le chemin de croix un moyen d’exprimer sa dévotion en dehors de la liturgie proprement dite. Le Vendredi Saint, l’Eglise nous fait suivre le Christ pas à pas dans le combat qu’il a accepté de vivre pour nous racheter de nos péchés.

Le chemin de croix qui accompagne Jésus vers sa mort est une contemplation active qui veut aider chacun à entrer dans le mystère de l’amour de Dieu, manifesté en son Fils. D’autre part, dans l’intercession pour le monde tel que Jésus l’a vécu en s’offrant sur la croix, une telle démarche ne peut se faire que dans la perspective de sa Résurrection à Pâques. Le chemin de croix apparaît donc comme un pèlerinage « en esprit », c’est pourquoi il touche celui qui l’entreprend sous trois aspects, tant physiques que spirituels : la marche, la méditation et l’intercession.

La marche
Pour épouser les sentiments du Christ, il est nécessaire d’avancer pas à pas. Pour entrer dans les profondeurs de l’amour du Père, il faut qu’un chemin se creuse, de station en station. Le déplacement physique invite à un déplacement intérieur. Il s’agit de se laisser façonner par la marche, de suivre le Christ pas à pas, de nous laisser conduire sur le chemin qu’il emprunte, et non de le précéder. Il s’agit d’entrer plus profondément dans notre condition de disciple.

La méditation
Le pas à pas s’accompagne du mouvement progressif de la méditation qui nous invite à faire mémoire du chemin accompli par Jésus lui-même. L’Evangile est le fondement de cette méditation qui appelle le pèlerin à une découverte progressive de la miséricorde du Père, en même temps qu’il est invité en contemplant Jésus anéanti sous les coups de la Passion, à reconnaître en lui le Christ, Serviteur de l’amour du Père pour notre humanité.

L’intercession
Tout pèlerinage s’accompagne de prière. Dans le cadre du chemin de croix, la prière voudrait prendre en charge toutes les situations de souffrance, d’épreuve, de détresse, de mort que nous rencontrons autour de nous dans la vie quotidienne ; toutes les vies des hommes de ce monde que le Christ, dans son mystère pascal, a offertes au Père.

La pratique du Chemin de croix peut se faire de manière solennelle, communautaire et processionnelle ou de manière privée, au sein d’une église ou même en pleine ville.

Quelles sont les stations du Chemin de croix ?
Le Chemin de la croix n’est pas un acte de sadomasochisme, il est l’unique qui vainc le péché, le mal et la mort, parce qu’il débouche sur la lumière radieuse de la résurrection du Christ, en ouvrant les horizons de la vie nouvelle et pleine. C’est le Chemin de l’espérance et de l’avenir. Celui qui le parcourt avec générosité et avec foi, donne espérance et avenir à l’humanité. Il sème l’espoir.

Les 14 stations du Chemin de croix

• 1e station : Jésus est condamné à mort
• 2e station : Jésus est chargé de sa croix
• 3e station : Jésus tombe sous le bois de la croix
• 4e station : Jésus rencontre sa Mère
• 5e station : Simon de Cyrène aide Jésus à porter sa croix
• 6e station : Véronique essuie la face de Jésus
• 7e station : Jésus tombe pour la seconde fois
• 8e station : Jésus console les filles de Jérusalem
• 9e station : Jésus tombe pour la 3e fois
• 10e station : Jésus est dépouillé de ses vêtements
• 11e station : Jésus est attaché à la croix
• 12e station : Jésus meurt sur la croix
• 13e station : Jésus est descendu de la croix et remis à sa mère
• 14e station : Jésus est mis dans le sépulcre
• (15e station : avec Marie, dans l'espérance de la résurrection).

Traditionnellement les Chemins de croix comptent 14 stations, aujourd’hui, on ajoute parfois une 15ème station, celle du tombeau vide qui relie ainsi, en finale, toutes les stations à la résurrection.

Le 2ème dimanche du Carême en 2026 tombera le 01 mars 2026. Ce dimanche est souvent marqué par le récit de la Transfiguration de Jésus, qui est un moment clé dans les Évangiles. Voici quelques pistes de réflexion pour cette journée :

Thèmes principaux

1. La Transfiguration : Le récit de la Transfiguration (souvent tiré de Matthieu 17:1-9) nous montre Jésus révélant sa gloire divine à ses disciples. Cet événement est un moment de révélation et de préparation pour les disciples, qui leur permet de mieux comprendre la nature du Christ et ce qui les attend. Cela nous invite à réfléchir sur la manière dont nous percevons et comprenons la présence de Dieu dans notre vie.
2. L’Appel à la Foi : Après la Transfiguration, Jésus demande à ses disciples de ne pas parler de ce qu’ils ont vu avant sa résurrection. Cela souligne l’importance de la foi et de la confiance dans le plan de Dieu, même lorsque nous ne comprenons pas tout. C’est un rappel que notre chemin spirituel est souvent marqué par des mystères que nous devons accepter avec foi.
3. La Montée de la Vie Spirituelle : La montée sur la montagne symbolise également notre propre cheminement spirituel. Ce temps de Carême est une invitation à « monter » en nous-mêmes, à élever nos pensées et nos actions vers des réalités plus spirituelles et divines. Cela peut impliquer de prendre du temps pour la prière, la méditation, et la réflexion.

Questions de réflexion

• Comment puis-je ouvrir mes yeux à la gloire de Dieu dans ma vie quotidienne ?
• Quelles sont les expériences spirituelles qui m’ont rapproché de Dieu, et comment puis-je les partager avec les autres dans un esprit de foi ?
• De quelles manières puis-je me préparer à la résurrection de Pâques en me concentrant sur ma vie spirituelle durant ce Carême ?

Conclusion

Le 2ème dimanche du Carême nous appelle à contempler la grandeur de Dieu et à nous engager dans une recherche plus profonde de notre foi. La Transfiguration de Jésus nous rappelle que, même au milieu des défis et des épreuves, nous avons la promesse de la lumière divine. En ce dimanche, nous sommes invités à prendre du temps pour réfléchir à notre propre transformation spirituelle, à chercher des moments de rencontre avec Dieu, et à nous préparer pour la joie de Pâques à venir.

Pourquoi adorer le Christ ?

♦ L’adoration eucharistique est une attitude de prière devant le Saint-Sacrement (l’Eucharistie). Le corps du Christ est réellement présent dans l’hostie consacrée lorsque celui-ci est exposé et adoré par les fidèles.

♦ L’objectif commun de la célébration et de l’adoration de l’Eucharistie est de permettre au fidèle de s’approcher de l’amour de Dieu et d’y adhérer personnellement pour tendre à s’unir avec le Christ, entrant ainsi dans la dynamique de l’amour trinitaire. L’adoration eucharistique en dehors de la messe prolonge et intensifie ce qui est réalisé durant la célébration liturgique elle-même. Elle vise plus particulièrement à entretenir une relation d’intime amitié avec le Christ.

♦ L’adoration est une grande source de vocations. Elle est une source de renouvellement spirituel et d’évangélisation pour les fidèles et pour l’Église entière.

Tous les vendredis de Carême, les fidèles se rassemblent pour le Chemin de Croix vécu en un lieu jubilaire, le Sanctuaire de Sainte-Rita.

Depuis vingt siècles, la mémoire des dernières heures de la vie de Jésus a retenu l’attention de l’Eglise et la piété des fidèles a trouvé dans le chemin de croix un moyen d’exprimer sa dévotion en dehors de la liturgie proprement dite. Le Vendredi Saint, l’Eglise nous fait suivre le Christ pas à pas dans le combat qu’il a accepté de vivre pour nous racheter de nos péchés.

Le chemin de croix qui accompagne Jésus vers sa mort est une contemplation active qui veut aider chacun à entrer dans le mystère de l’amour de Dieu, manifesté en son Fils. D’autre part, dans l’intercession pour le monde tel que Jésus l’a vécu en s’offrant sur la croix, une telle démarche ne peut se faire que dans la perspective de sa Résurrection à Pâques. Le chemin de croix apparaît donc comme un pèlerinage « en esprit », c’est pourquoi il touche celui qui l’entreprend sous trois aspects, tant physiques que spirituels : la marche, la méditation et l’intercession.

La marche
Pour épouser les sentiments du Christ, il est nécessaire d’avancer pas à pas. Pour entrer dans les profondeurs de l’amour du Père, il faut qu’un chemin se creuse, de station en station. Le déplacement physique invite à un déplacement intérieur. Il s’agit de se laisser façonner par la marche, de suivre le Christ pas à pas, de nous laisser conduire sur le chemin qu’il emprunte, et non de le précéder. Il s’agit d’entrer plus profondément dans notre condition de disciple.

La méditation
Le pas à pas s’accompagne du mouvement progressif de la méditation qui nous invite à faire mémoire du chemin accompli par Jésus lui-même. L’Evangile est le fondement de cette méditation qui appelle le pèlerin à une découverte progressive de la miséricorde du Père, en même temps qu’il est invité en contemplant Jésus anéanti sous les coups de la Passion, à reconnaître en lui le Christ, Serviteur de l’amour du Père pour notre humanité.

L’intercession
Tout pèlerinage s’accompagne de prière. Dans le cadre du chemin de croix, la prière voudrait prendre en charge toutes les situations de souffrance, d’épreuve, de détresse, de mort que nous rencontrons autour de nous dans la vie quotidienne ; toutes les vies des hommes de ce monde que le Christ, dans son mystère pascal, a offertes au Père.

La pratique du Chemin de croix peut se faire de manière solennelle, communautaire et processionnelle ou de manière privée, au sein d’une église ou même en pleine ville.

Quelles sont les stations du Chemin de croix ?
Le Chemin de la croix n’est pas un acte de sadomasochisme, il est l’unique qui vainc le péché, le mal et la mort, parce qu’il débouche sur la lumière radieuse de la résurrection du Christ, en ouvrant les horizons de la vie nouvelle et pleine. C’est le Chemin de l’espérance et de l’avenir. Celui qui le parcourt avec générosité et avec foi, donne espérance et avenir à l’humanité. Il sème l’espoir.

Les 14 stations du Chemin de croix

• 1e station : Jésus est condamné à mort
• 2e station : Jésus est chargé de sa croix
• 3e station : Jésus tombe sous le bois de la croix
• 4e station : Jésus rencontre sa Mère
• 5e station : Simon de Cyrène aide Jésus à porter sa croix
• 6e station : Véronique essuie la face de Jésus
• 7e station : Jésus tombe pour la seconde fois
• 8e station : Jésus console les filles de Jérusalem
• 9e station : Jésus tombe pour la 3e fois
• 10e station : Jésus est dépouillé de ses vêtements
• 11e station : Jésus est attaché à la croix
• 12e station : Jésus meurt sur la croix
• 13e station : Jésus est descendu de la croix et remis à sa mère
• 14e station : Jésus est mis dans le sépulcre
• (15e station : avec Marie, dans l'espérance de la résurrection).

Traditionnellement les Chemins de croix comptent 14 stations, aujourd’hui, on ajoute parfois une 15ème station, celle du tombeau vide qui relie ainsi, en finale, toutes les stations à la résurrection.

Le 3ème dimanche du Carême en 2026 tombera le 08 mars. Ce dimanche est souvent marqué par des thèmes de conversion, de repentance et de la nécessité de se rapprocher de Dieu. Les lectures de ce dimanche peuvent inclure des passages sur l’appel à la conversion et l’importance de la miséricorde.

Thèmes principaux

1. L’Appel à la Conversion : Les lectures de ce dimanche insistent généralement sur la nécessité de se détourner du péché et de revenir à Dieu. Ce peut être une invitation à réfléchir sur notre propre vie : quelles sont les attitudes ou comportements qui nous éloignent de notre relation avec Dieu et des autres ?
2. La Miséricorde de Dieu : Ce dimanche rappelle que, même si nous sommes appelés à la conversion, Dieu est toujours prêt à accueillir ceux qui se tournent vers Lui avec un cœur repentant. Cela nous encourage à ne pas avoir peur de nos échecs, mais à chercher le pardon et la réconciliation.
3. La Fructification de notre Vie Spirituelle : Les lectures peuvent également évoquer l’idée de porter du fruit. Cela nous invite à réfléchir sur les fruits que nous produisons dans notre vie quotidienne. Sommes-nous des instruments de paix, d’amour et de service pour les autres ? Comment pouvons-nous mieux vivre notre foi dans nos actions ?

Questions de réflexion

• Quelles sont les choses dans ma vie qui nécessitent un changement ou une conversion ?
• Comment puis-je expérimenter la miséricorde de Dieu dans ma vie et la partager avec les autres ?
• Quels fruits spirituels puis-je cultiver durant ce Carême, et comment cela peut-il influencer ma relation avec les autres ?

Conclusion

Le 3ème dimanche du Carême nous offre une occasion précieuse de réfléchir à notre vie spirituelle et à notre relation avec Dieu. C’est un moment pour reconnaître nos faiblesses, mais aussi pour célébrer la miséricorde de Dieu qui nous appelle à la conversion. En nous engageant dans cette période de pénitence, nous pouvons nous préparer à accueillir pleinement la joie de la résurrection lors de Pâques. Ce dimanche nous rappelle que chaque pas vers Dieu est un pas vers la lumière, et que notre cheminement spirituel est un voyage de transformation et de croissance.

Tous les vendredis de Carême, les fidèles se rassemblent pour le Chemin de Croix vécu en un lieu jubilaire, le Sanctuaire de Sainte-Rita.

Depuis vingt siècles, la mémoire des dernières heures de la vie de Jésus a retenu l’attention de l’Eglise et la piété des fidèles a trouvé dans le chemin de croix un moyen d’exprimer sa dévotion en dehors de la liturgie proprement dite. Le Vendredi Saint, l’Eglise nous fait suivre le Christ pas à pas dans le combat qu’il a accepté de vivre pour nous racheter de nos péchés.

Le chemin de croix qui accompagne Jésus vers sa mort est une contemplation active qui veut aider chacun à entrer dans le mystère de l’amour de Dieu, manifesté en son Fils. D’autre part, dans l’intercession pour le monde tel que Jésus l’a vécu en s’offrant sur la croix, une telle démarche ne peut se faire que dans la perspective de sa Résurrection à Pâques. Le chemin de croix apparaît donc comme un pèlerinage « en esprit », c’est pourquoi il touche celui qui l’entreprend sous trois aspects, tant physiques que spirituels : la marche, la méditation et l’intercession.

La marche
Pour épouser les sentiments du Christ, il est nécessaire d’avancer pas à pas. Pour entrer dans les profondeurs de l’amour du Père, il faut qu’un chemin se creuse, de station en station. Le déplacement physique invite à un déplacement intérieur. Il s’agit de se laisser façonner par la marche, de suivre le Christ pas à pas, de nous laisser conduire sur le chemin qu’il emprunte, et non de le précéder. Il s’agit d’entrer plus profondément dans notre condition de disciple.

La méditation
Le pas à pas s’accompagne du mouvement progressif de la méditation qui nous invite à faire mémoire du chemin accompli par Jésus lui-même. L’Evangile est le fondement de cette méditation qui appelle le pèlerin à une découverte progressive de la miséricorde du Père, en même temps qu’il est invité en contemplant Jésus anéanti sous les coups de la Passion, à reconnaître en lui le Christ, Serviteur de l’amour du Père pour notre humanité.

L’intercession
Tout pèlerinage s’accompagne de prière. Dans le cadre du chemin de croix, la prière voudrait prendre en charge toutes les situations de souffrance, d’épreuve, de détresse, de mort que nous rencontrons autour de nous dans la vie quotidienne ; toutes les vies des hommes de ce monde que le Christ, dans son mystère pascal, a offertes au Père.

La pratique du Chemin de croix peut se faire de manière solennelle, communautaire et processionnelle ou de manière privée, au sein d’une église ou même en pleine ville.

Quelles sont les stations du Chemin de croix ?
Le Chemin de la croix n’est pas un acte de sadomasochisme, il est l’unique qui vainc le péché, le mal et la mort, parce qu’il débouche sur la lumière radieuse de la résurrection du Christ, en ouvrant les horizons de la vie nouvelle et pleine. C’est le Chemin de l’espérance et de l’avenir. Celui qui le parcourt avec générosité et avec foi, donne espérance et avenir à l’humanité. Il sème l’espoir.

Les 14 stations du Chemin de croix

• 1e station : Jésus est condamné à mort
• 2e station : Jésus est chargé de sa croix
• 3e station : Jésus tombe sous le bois de la croix
• 4e station : Jésus rencontre sa Mère
• 5e station : Simon de Cyrène aide Jésus à porter sa croix
• 6e station : Véronique essuie la face de Jésus
• 7e station : Jésus tombe pour la seconde fois
• 8e station : Jésus console les filles de Jérusalem
• 9e station : Jésus tombe pour la 3e fois
• 10e station : Jésus est dépouillé de ses vêtements
• 11e station : Jésus est attaché à la croix
• 12e station : Jésus meurt sur la croix
• 13e station : Jésus est descendu de la croix et remis à sa mère
• 14e station : Jésus est mis dans le sépulcre
• (15e station : avec Marie, dans l'espérance de la résurrection).

Traditionnellement les Chemins de croix comptent 14 stations, aujourd’hui, on ajoute parfois une 15ème station, celle du tombeau vide qui relie ainsi, en finale, toutes les stations à la résurrection.

Le 4ème dimanche du Carême en 2026 tombera le 15 mars 2026. Ce dimanche est souvent connu comme le “Dimanche de Laetare”, un terme qui signifie “se réjouir”. C’est une journée qui marque un tournant dans le Carême, passant d’une période de pénitence à une anticipation joyeuse de la résurrection. Voici quelques pistes de réflexion pour ce dimanche :

Thèmes principaux

1. La Joie au Milieu de la Pénitence : Bien que le Carême soit une période de réflexion et de jeûne, le Dimanche de Laetare nous rappelle qu’il est également possible d’éprouver de la joie. Cette joie vient de l’espérance de la résurrection et de la promesse de la rédemption. C’est un moment pour célébrer les petites victoires spirituelles que nous avons réalisées jusqu’à présent dans notre cheminement.
2. La Lumière de Dieu : Les lectures de ce dimanche peuvent inclure des thèmes sur la lumière et l’obscurité, comme dans l’Évangile de Jean (souvent Jean 3:14-21). Cela nous invite à réfléchir sur la lumière que Christ apporte dans nos vies et comment nous sommes appelés à être des porteurs de cette lumière pour les autres.
3. La Conversion et le Pardon : Ce dimanche peut également aborder des thèmes de conversion, de guérison et de pardon. C’est une occasion de se rappeler que, même si nous avons fait des erreurs, nous sommes toujours invités à revenir à Dieu. La miséricorde divine est un thème central qui nous encourage à chercher le pardon et à pardonner aux autres.

Questions de réflexion

• Quelles sont les sources de joie dans ma vie spirituelle, même au milieu des défis ?
• Comment puis-je être un instrument de lumière et d’amour pour ceux qui m’entourent ?
• Y a-t-il des blessures ou des ressentiments que je dois laisser derrière moi pour avancer dans ma vie spirituelle ?

Conclusion

Le 4ème dimanche du Carême nous offre une belle opportunité de célébrer la joie tout en continuant notre cheminement vers Pâques. C’est un moment pour se rappeler que la lumière de Christ brille même dans les moments d’obscurité et que, par sa grâce, nous avons la possibilité de nous renouveler. En ce Dimanche de Laetare, engageons-nous à cultiver cette joie et à la partager avec les autres, tout en nous préparant à la grande joie de la résurrection qui approche.

Saint Joseph, époux de la Vierge Marie, est une figure centrale dans la foi chrétienne, mais souvent moins mise en avant que d’autres saints. Sa vie et son rôle dans le récit de l’incarnation portent une richesse spirituelle qui mérite d’être explorée. Voici quelques éléments soulignant le sens spirituel de Saint Joseph :

1. Modèle de Foi et de Confiance

Saint Joseph est un exemple de foi silencieuse et de confiance en Dieu. Lorsque l’ange lui apparaît en songe pour lui annoncer que Marie attend un enfant par l’action du Saint-Esprit, Joseph ne doute pas de cette révélation. Il accepte avec humilité et obéissance le plan de Dieu, même si cela va à l’encontre de ses premières intentions. Cela nous enseigne l’importance de la foi et de la confiance en Dieu, même face à l’inattendu.

2. Père adoptif de Jésus

En acceptant de prendre Marie pour épouse et de devenir le père adoptif de Jésus, Joseph incarne le rôle de protecteur et de guide. Il prend soin de sa famille, et sa présence est essentielle pour le développement de Jésus. Cette figure paternelle nous rappelle l’importance de la responsabilité et du soin dans nos relations, ainsi que la valeur de l’amour inconditionnel.

3. Silence et Humilité

Joseph est souvent décrit comme un homme de peu de mots. Son silence ne signifie pas l’absence d’action, mais plutôt une profonde intimité avec Dieu. Il agit avec détermination, suivant les instructions divines, mais sans chercher la reconnaissance ou la gloire. Son humilité nous appelle à une forme de service désintéressé et d’engagement dans notre vie quotidienne, loin de la recherche de la popularité ou de l’approbation.

4. Patience et Persévérance

La vie de Saint Joseph n’est pas exempte de défis. Il fait face à des situations difficiles, comme la fuite en Égypte pour protéger Jésus des menaces. Sa capacité à rester patient et persévérant nous enseigne l’importance de la résilience dans notre cheminement de foi. Dans les moments d’incertitude ou de difficulté, nous pouvons nous inspirer de son exemple pour continuer à avancer avec confiance.

5. Intercesseur et Modèle pour les Pères

Saint Joseph est souvent invoqué comme intercesseur, en particulier pour les pères et les familles. Sa vie offre un modèle de paternité aimante et protectrice. En tant que guide spirituel, il nous rappelle l’importance de la foi dans la vie familiale et la responsabilité de transmettre les valeurs chrétiennes à nos enfants.

Conclusion

Saint Joseph, époux de la Vierge Marie, est une figure spirituelle riche qui nous appelle à vivre notre foi avec confiance, humilité et amour. Son exemple de paternité, de protection et de dévouement nous inspire à être des témoins de l’amour de Dieu dans nos propres vies. En méditant sur Saint Joseph, nous avons l’opportunité de grandir dans notre relation avec Dieu et d’apprendre à vivre notre vocation avec foi et intégrité. Que son intercession nous accompagne sur notre chemin spirituel, nous guidant vers une plus grande imitation du Christ.

A l'occasion de la solennité en l'honneur de Saint Joseph, un chapelet sera prié en son honneur peu après la messe, à 19h dans la chapelle-sanctuaire. Vous y êtes tous invités.

Saint Joseph, époux de la Vierge Marie et père adoptif de Jésus, occupe une place éminente dans la tradition chrétienne. Sa vie et son rôle dans le plan de Dieu en font une figure respectée et aimée dans l’Église. Voici quelques éléments sur la dévotion envers Saint Joseph :

1. Un modèle de foi et d’humilité

Saint Joseph est souvent présenté comme un homme de foi exemplaire. Sa réponse à l’appel de Dieu, malgré les incertitudes et les défis qu’il a rencontrés, témoigne de son dévouement et de sa confiance en Dieu. Sa capacité à accepter son rôle dans le mystère de l’Incarnation fait de lui un modèle d’humilité et de soumission à la volonté divine.

2. Patron des travailleurs

Saint Joseph est également le patron des travailleurs, en raison de son métier de charpentier. Cela souligne l’importance du travail et de la dignité de l’effort humain. Les croyants sont encouragés à prier Saint Joseph pour obtenir sa protection et son intercession dans leurs vies professionnelles et à trouver sens et satisfaction dans leur travail.

3. Protecteur de la Sainte Famille

En tant que chef de la Sainte Famille, Saint Joseph a joué un rôle crucial dans la protection et le soutien de Marie et de Jésus. Sa dévotion est souvent associée à la protection des familles, et beaucoup prient Saint Joseph pour qu’il veille sur leurs proches et leur accorde la paix et l’harmonie familiale.

4. La dévotion envers Saint Joseph

La dévotion envers Saint Joseph s’exprime de plusieurs manières :

• Prières et neuvaines : De nombreuses prières, comme la prière à Saint Joseph, et des neuvaines sont dédiées à lui. Les fidèles lui demandent souvent d’intercéder pour leurs besoins, notamment en matière de travail, de protection et de paix familiale.
• Fête de Saint Joseph : La fête de Saint Joseph est célébrée le 19 mars dans le calendrier liturgique. C’est une occasion pour les croyants de se rassembler et de réfléchir sur son rôle et son exemple.
• Litanies et chapelles : Les litanies de Saint Joseph sont souvent récitées en son honneur, et de nombreuses chapelles et églises sont dédiées à lui. Les fidèles visitent ces lieux pour prier et demander son intercession.
• Mois de Saint Joseph : Le mois de mars est souvent dédié à Saint Joseph, avec des prières et des réflexions qui lui sont consacrées.

5. Un saint accessible

Saint Joseph est souvent considéré comme un saint accessible, proche des réalités de la vie quotidienne. Sa vie simple et son engagement envers sa famille en font une figure avec laquelle beaucoup peuvent s’identifier. Cela en fait un intercesseur privilégié pour les croyants qui cherchent soutien et guidance dans leur vie.

Conclusion

La dévotion à Saint Joseph est une pratique enrichissante pour les chrétiens, qui voient en lui un modèle de foi, de travail et de protection. En invoquant son intercession, les fidèles sont encouragés à approfondir leur propre relation avec Dieu, à vivre leur foi de manière authentique et à bâtir des familles unies dans l’amour et la confiance.

Tous les vendredis de Carême, les fidèles se rassemblent pour le Chemin de Croix vécu en un lieu jubilaire, le Sanctuaire de Sainte-Rita.

Depuis vingt siècles, la mémoire des dernières heures de la vie de Jésus a retenu l’attention de l’Eglise et la piété des fidèles a trouvé dans le chemin de croix un moyen d’exprimer sa dévotion en dehors de la liturgie proprement dite. Le Vendredi Saint, l’Eglise nous fait suivre le Christ pas à pas dans le combat qu’il a accepté de vivre pour nous racheter de nos péchés.

Le chemin de croix qui accompagne Jésus vers sa mort est une contemplation active qui veut aider chacun à entrer dans le mystère de l’amour de Dieu, manifesté en son Fils. D’autre part, dans l’intercession pour le monde tel que Jésus l’a vécu en s’offrant sur la croix, une telle démarche ne peut se faire que dans la perspective de sa Résurrection à Pâques. Le chemin de croix apparaît donc comme un pèlerinage « en esprit », c’est pourquoi il touche celui qui l’entreprend sous trois aspects, tant physiques que spirituels : la marche, la méditation et l’intercession.

La marche
Pour épouser les sentiments du Christ, il est nécessaire d’avancer pas à pas. Pour entrer dans les profondeurs de l’amour du Père, il faut qu’un chemin se creuse, de station en station. Le déplacement physique invite à un déplacement intérieur. Il s’agit de se laisser façonner par la marche, de suivre le Christ pas à pas, de nous laisser conduire sur le chemin qu’il emprunte, et non de le précéder. Il s’agit d’entrer plus profondément dans notre condition de disciple.

La méditation
Le pas à pas s’accompagne du mouvement progressif de la méditation qui nous invite à faire mémoire du chemin accompli par Jésus lui-même. L’Evangile est le fondement de cette méditation qui appelle le pèlerin à une découverte progressive de la miséricorde du Père, en même temps qu’il est invité en contemplant Jésus anéanti sous les coups de la Passion, à reconnaître en lui le Christ, Serviteur de l’amour du Père pour notre humanité.

L’intercession
Tout pèlerinage s’accompagne de prière. Dans le cadre du chemin de croix, la prière voudrait prendre en charge toutes les situations de souffrance, d’épreuve, de détresse, de mort que nous rencontrons autour de nous dans la vie quotidienne ; toutes les vies des hommes de ce monde que le Christ, dans son mystère pascal, a offertes au Père.

La pratique du Chemin de croix peut se faire de manière solennelle, communautaire et processionnelle ou de manière privée, au sein d’une église ou même en pleine ville.

Quelles sont les stations du Chemin de croix ?
Le Chemin de la croix n’est pas un acte de sadomasochisme, il est l’unique qui vainc le péché, le mal et la mort, parce qu’il débouche sur la lumière radieuse de la résurrection du Christ, en ouvrant les horizons de la vie nouvelle et pleine. C’est le Chemin de l’espérance et de l’avenir. Celui qui le parcourt avec générosité et avec foi, donne espérance et avenir à l’humanité. Il sème l’espoir.

Les 14 stations du Chemin de croix

• 1e station : Jésus est condamné à mort
• 2e station : Jésus est chargé de sa croix
• 3e station : Jésus tombe sous le bois de la croix
• 4e station : Jésus rencontre sa Mère
• 5e station : Simon de Cyrène aide Jésus à porter sa croix
• 6e station : Véronique essuie la face de Jésus
• 7e station : Jésus tombe pour la seconde fois
• 8e station : Jésus console les filles de Jérusalem
• 9e station : Jésus tombe pour la 3e fois
• 10e station : Jésus est dépouillé de ses vêtements
• 11e station : Jésus est attaché à la croix
• 12e station : Jésus meurt sur la croix
• 13e station : Jésus est descendu de la croix et remis à sa mère
• 14e station : Jésus est mis dans le sépulcre
• (15e station : avec Marie, dans l'espérance de la résurrection).

Traditionnellement les Chemins de croix comptent 14 stations, aujourd’hui, on ajoute parfois une 15ème station, celle du tombeau vide qui relie ainsi, en finale, toutes les stations à la résurrection.

Le 5ème dimanche du Carême en 2026 tombera le 22 mars. Ce dimanche est souvent marqué par des thèmes de préparation, de rédemption et de la promesse de la résurrection. Les lectures de ce jour, en particulier dans le contexte des Évangiles, peuvent évoquer la nécessité de la mort pour donner naissance à une nouvelle vie, ce qui est particulièrement pertinent à l’approche de Pâques. Voici quelques pistes de réflexion pour ce dimanche :

Thèmes principaux

1. La Mort et la Résurrection : Les lectures peuvent inclure des passages comme celui de Jean 12:20-33, où Jésus parle de la nécessité de mourir pour porter du fruit. Ce thème souligne que la transformation et la nouvelle vie passent souvent par des épreuves et des sacrifices. Cela nous invite à réfléchir sur ce que nous devons laisser derrière nous pour accueillir une nouvelle vie en Christ.
2. L’Invitation à la Conversion : Ce dimanche est un moment fort pour réfléchir à notre propre cheminement spirituel. Il nous rappelle que le Carême est une période de conversion, où nous sommes appelés à examiner nos vies, à identifier ce qui doit être changé et à nous tourner vers Dieu avec un cœur repentant.
3. La Promesse de la Vie Éternelle : Jésus nous assure que ceux qui croient en Lui auront la vie éternelle. Ce message de rédemption et d’espoir est central dans notre foi. Cela nous encourage à vivre notre vie en ayant en vue cette promesse, même dans les moments de douleur ou de lutte.

Questions de réflexion

• Quelles sont les choses dans ma vie que je dois “laisser mourir” pour permettre à quelque chose de nouveau de naître ?
• Comment puis-je approfondir ma conversion personnelle durant ce Carême, et quels pas concrets puis-je entreprendre ?
• Quelles promesses de Dieu puis-je saisir dans ma vie quotidienne pour nourrir mon espérance et ma foi ?

Conclusion

Le 5ème dimanche du Carême nous appelle à réfléchir sur les thèmes de la mort et de la résurrection qui se rejoignent dans notre vie spirituelle. Alors que nous nous préparons à entrer dans la Semaine Sainte et à célébrer la résurrection de Pâques, ce dimanche est une invitation à nous engager pleinement dans notre cheminement de foi. C’est l’occasion de faire le point sur notre vie, de laisser derrière nous ce qui nous entrave et d’accueillir la nouvelle vie que Dieu nous offre. Que ce temps de réflexion et de prière nous aide à nous rapprocher de Lui et à nous préparer à la joie de la résurrection.

Un Oui qui Change le Monde

En ce jour de la Solennité de l’Annonciation, nous sommes invités à contempler un moment décisif de l’histoire du salut : l’instant où l’ange Gabriel vient à Marie avec un message divin. Ce n’est pas seulement une annonce, mais un appel à une mission qui transcende le temps et l’espace. C’est un acte de foi, un engagement qui bouleverse le cours de l’humanité.

Marie, une jeune fille de Nazareth, se retrouve face à une réalité incroyable. Le message de l’ange est à la fois un appel et un défi : “Tu concevras dans ton sein et tu mettras au monde un fils, et tu l’appelleras Jésus.” Dans ce moment de révélation, Marie est confrontée à l’inconnu, à l’impossible, mais elle répond avec une foi qui inspire des générations : “Je suis la servante du Seigneur, qu’il me soit fait selon ta parole.”

Ce “oui” de Marie est un acte de confiance totale. Elle n’a pas besoin de comprendre chaque détail, mais elle fait confiance à la promesse de Dieu. Dans un monde souvent marqué par la peur et l’incertitude, Marie nous montre la voie de la foi. Elle nous enseigne que répondre à l’appel de Dieu implique souvent de sortir de notre zone de confort, d’accepter l’inconnu et de croire que Dieu a un plan pour nous.

L’Annonciation nous rappelle également que Dieu s’abaisse pour entrer dans nos vies. Il choisit de se faire vulnérable en s’incarnant dans un être humain, en dépendant de l’amour et de la protection de Marie. Cela nous invite à réfléchir sur notre propre accueil de Dieu dans notre vie. Comment répondons-nous à ses appels ? Sommes-nous ouverts à accueillir la nouveauté qu’Il veut réaliser en nous ?

Aujourd’hui, alors que nous célébrons l’Annonciation, nous sommes appelés à renouveler notre propre “oui” à Dieu. Comme Marie, nous sommes invités à accueillir la volonté divine, à prier avec un cœur ouvert et à nous engager à vivre notre foi avec audace. Cette solennité nous rappelle que chaque instant de notre vie peut être une occasion de rencontrer Dieu et de laisser son amour transformer notre existence.

En ce jour, prions pour que, comme Marie, nous puissions être des témoins de l’espérance et de la lumière du Christ dans le monde. Que notre réponse à Dieu soit pleine de confiance et de joie, et que nous soyons des instruments de sa paix et de sa miséricorde.

Amen.

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Cette réflexion sur la Solennité de l’Annonciation du Seigneur nous invite à apprécier la profondeur de cet événement et à vivre notre foi avec une confiance renouvelée en la promesse de Dieu.

Le rosaire médité est une pratique de prière qui combine la récitation de prières traditionnelles, comme le Notre Père et les Ave Maria, avec des réflexions profondes sur les mystères de la vie de Jésus et de la Vierge Marie. Cette forme de prière est une manière d’approfondir notre relation avec Dieu et de méditer sur les événements clés de la foi chrétienne. Voici quelques éléments qui soulignent le sens spirituel du rosaire médité :

1. Méditation sur la Vie du Christ et de Marie

Le rosaire est structuré autour de vingt mystères, regroupés en quatre séries : les mystères joyeux, douloureux, glorieux et lumineux. Chaque mystère invite à réfléchir sur un aspect particulier de la vie de Jésus ou de Marie. Cette méditation permet aux fidèles de s’immerger dans les événements salvifiques et de comprendre leur signification profonde pour leur vie spirituelle.

2. Un Chemin de Prière et de Contemplation

La répétition des prières du rosaire crée un espace de silence et de tranquillité intérieure, propice à la contemplation. Cela permet de se recentrer sur sa foi, d’écouter la voix de Dieu et d’accueillir sa présence. La prière devient un dialogue avec Dieu, où l’on peut exprimer ses joies, ses peines et ses préoccupations.

3. Un Outil de Conversion

La méditation des mystères du rosaire peut également être un moyen de conversion personnelle. En réfléchissant aux défis et aux sacrifices de Jésus et de Marie, les fidèles sont invités à examiner leur propre vie, à reconnaître leurs faiblesses et à aspirer à une transformation spirituelle. Cela peut mener à des résolutions concrètes pour vivre sa foi de manière plus authentique.

4. La Communion avec les Saints

En priant le rosaire, les fidèles se connectent non seulement à Jésus et à Marie, mais aussi à toute la communauté des saints. Cela renforce le sentiment d’appartenance à l’Église, une communion de croyants qui soutiennent mutuellement leur chemin de foi.

5. Un Acte de Dévotion et de Louange

Le rosaire est aussi un acte de dévotion envers Marie. En méditant sur sa vie, son rôle dans le plan de salut et sa maternité spirituelle, les fidèles expriment leur amour et leur gratitude envers elle. Cela peut renforcer la dévotion mariale et encourager les croyants à imiter ses vertus, comme l’humilité, la foi et la confiance en Dieu.

Conclusion

Le rosaire médité est une manière riche et profonde d’approfondir sa vie spirituelle. En intégrant la prière, la méditation et la réflexion sur les mystères de la foi, il offre une voie vers une relation plus intime avec Dieu et un chemin de conversion. Cette pratique invite à vivre une spiritualité qui allie contemplation et action, en cherchant à imiter l’amour et la foi de Jésus et de Marie dans notre vie quotidienne.

Tous les vendredis de Carême, les fidèles se rassemblent pour le Chemin de Croix vécu en un lieu jubilaire, le Sanctuaire de Sainte-Rita.

Depuis vingt siècles, la mémoire des dernières heures de la vie de Jésus a retenu l’attention de l’Eglise et la piété des fidèles a trouvé dans le chemin de croix un moyen d’exprimer sa dévotion en dehors de la liturgie proprement dite. Le Vendredi Saint, l’Eglise nous fait suivre le Christ pas à pas dans le combat qu’il a accepté de vivre pour nous racheter de nos péchés.

Le chemin de croix qui accompagne Jésus vers sa mort est une contemplation active qui veut aider chacun à entrer dans le mystère de l’amour de Dieu, manifesté en son Fils. D’autre part, dans l’intercession pour le monde tel que Jésus l’a vécu en s’offrant sur la croix, une telle démarche ne peut se faire que dans la perspective de sa Résurrection à Pâques. Le chemin de croix apparaît donc comme un pèlerinage « en esprit », c’est pourquoi il touche celui qui l’entreprend sous trois aspects, tant physiques que spirituels : la marche, la méditation et l’intercession.

La marche
Pour épouser les sentiments du Christ, il est nécessaire d’avancer pas à pas. Pour entrer dans les profondeurs de l’amour du Père, il faut qu’un chemin se creuse, de station en station. Le déplacement physique invite à un déplacement intérieur. Il s’agit de se laisser façonner par la marche, de suivre le Christ pas à pas, de nous laisser conduire sur le chemin qu’il emprunte, et non de le précéder. Il s’agit d’entrer plus profondément dans notre condition de disciple.

La méditation
Le pas à pas s’accompagne du mouvement progressif de la méditation qui nous invite à faire mémoire du chemin accompli par Jésus lui-même. L’Evangile est le fondement de cette méditation qui appelle le pèlerin à une découverte progressive de la miséricorde du Père, en même temps qu’il est invité en contemplant Jésus anéanti sous les coups de la Passion, à reconnaître en lui le Christ, Serviteur de l’amour du Père pour notre humanité.

L’intercession
Tout pèlerinage s’accompagne de prière. Dans le cadre du chemin de croix, la prière voudrait prendre en charge toutes les situations de souffrance, d’épreuve, de détresse, de mort que nous rencontrons autour de nous dans la vie quotidienne ; toutes les vies des hommes de ce monde que le Christ, dans son mystère pascal, a offertes au Père.

La pratique du Chemin de croix peut se faire de manière solennelle, communautaire et processionnelle ou de manière privée, au sein d’une église ou même en pleine ville.

Quelles sont les stations du Chemin de croix ?
Le Chemin de la croix n’est pas un acte de sadomasochisme, il est l’unique qui vainc le péché, le mal et la mort, parce qu’il débouche sur la lumière radieuse de la résurrection du Christ, en ouvrant les horizons de la vie nouvelle et pleine. C’est le Chemin de l’espérance et de l’avenir. Celui qui le parcourt avec générosité et avec foi, donne espérance et avenir à l’humanité. Il sème l’espoir.

Les 14 stations du Chemin de croix

• 1e station : Jésus est condamné à mort
• 2e station : Jésus est chargé de sa croix
• 3e station : Jésus tombe sous le bois de la croix
• 4e station : Jésus rencontre sa Mère
• 5e station : Simon de Cyrène aide Jésus à porter sa croix
• 6e station : Véronique essuie la face de Jésus
• 7e station : Jésus tombe pour la seconde fois
• 8e station : Jésus console les filles de Jérusalem
• 9e station : Jésus tombe pour la 3e fois
• 10e station : Jésus est dépouillé de ses vêtements
• 11e station : Jésus est attaché à la croix
• 12e station : Jésus meurt sur la croix
• 13e station : Jésus est descendu de la croix et remis à sa mère
• 14e station : Jésus est mis dans le sépulcre
• (15e station : avec Marie, dans l'espérance de la résurrection).

Traditionnellement les Chemins de croix comptent 14 stations, aujourd’hui, on ajoute parfois une 15ème station, celle du tombeau vide qui relie ainsi, en finale, toutes les stations à la résurrection.

Le dimanche des Rameaux en 2026 sera célébré le 29 mars. Ce jour marque le début de la Semaine Sainte et commémore l’entrée triomphale de Jésus à Jérusalem, lorsque la foule l’accueillit avec des rameaux et des cris de louange. Voici quelques pistes de réflexion pour ce dimanche :

Thèmes principaux

1. L’Entrée Triomphale de Jésus : Le récit de l’entrée de Jésus à Jérusalem (souvent tiré de l’Évangile de Matthieu, Marc ou Luc) souligne la reconnaissance de Jésus en tant que roi. Les foules l’acclament en criant “Hosanna”, un acte de louange et d’adoration. Cela nous invite à réfléchir sur notre propre accueil de Jésus dans nos vies. Comment le célébrons-nous et le reconnaissons-nous comme notre roi et Sauveur ?
2. Les Contrastes de la Semaine Sainte : Bien que ce dimanche soit une célébration joyeuse, il annonce également une semaine de souffrance et de sacrifice. Cela nous rappelle que la vie chrétienne est souvent marquée par des moments de joie et de souffrance. La transition rapide entre l’acclamation et le rejet de Jésus nous incite à réfléchir sur notre propre fidélité et notre engagement envers Lui.
3. La Signification des Rameaux : Les rameaux symbolisent la victoire et la paix. En tant que chrétiens, nous sommes appelés à être des porteurs de paix dans un monde souvent en conflit. Cela nous pousse à réfléchir sur notre rôle en tant que témoins de l’amour et de la paix de Christ dans notre vie quotidienne.

Questions de réflexion

• Comment puis-je accueillir Jésus dans ma vie de manière plus authentique, non seulement lors des moments de joie, mais aussi dans les moments de difficulté ?
• Quelles sont les façons dont je peux être un instrument de paix et d’amour dans mon entourage ?
• Suis-je prêt à suivre Jésus tout au long de la Semaine Sainte, même lorsque cela implique de faire face à la souffrance et à la croix ?

Conclusion

Le dimanche des Rameaux nous invite à entrer dans la Semaine Sainte avec un cœur ouvert, prêt à accueillir Jésus comme notre roi. C’est un moment pour célébrer notre foi tout en étant conscients des défis qui nous attendent. En nous engageant dans ce cheminement, nous sommes appelés à vivre pleinement le mystère de la passion, de la mort et de la résurrection de Jésus. Que ce dimanche soit pour nous une occasion de renouveler notre foi et notre engagement envers Lui, en nous préparant à vivre les événements profonds de la Semaine Sainte avec un cœur repentant et joyeux. sur les thèmes de la mort et de la résurrection qui se rejoignent dans notre vie spirituelle. Alors que nous nous préparons à entrer dans la Semaine Sainte et à célébrer la résurrection de Pâques, ce dimanche est une invitation à nous engager pleinement dans notre cheminement de foi. C’est l’occasion de faire le point sur notre vie, de laisser derrière nous ce qui nous entrave et d’accueillir la nouvelle vie que Dieu nous offre. Que ce temps de réflexion et de prière nous aide à nous rapprocher de Lui et à nous préparer à la joie de la résurrection.

Tous les 29 du mois, à 19h, la dévotion à St-Michel est devenue un moment fort où nous lui demandons de protéger la vie spirituelle de tous les fidèles qui fréquentent notre sanctuaire mais aussi l'Eglise tout-entière.

Saint Michel Archange est l'un des saints les plus vénérés de l'Église catholique. Connu comme le chef des armées célestes, il est un puissant protecteur et un modèle de courage et de fidélité à Dieu.

Saint Michel est mentionné dans la Bible à plusieurs reprises, notamment dans le Livre de l'Apocalypse, où il est décrit comme le chef des armées célestes qui mène les anges dans la bataille contre le dragon, symbole de Satan. Son nom, Michel, signifie Qui est comme Dieu?, ce qui reflète son rôle de défenseur de la gloire divine.

"Saint Michel Archange, défendez-nous dans le combat; soyez notre secours contre la malice et les embûches du démon. Que Dieu exerce sur lui son empire, nous le demandons en suppliant; et vous, Prince de la milice céleste, repoussez en enfer, par la force divine, Satan et les autres esprits mauvais qui rôdent dans le monde en vue de perdre les âmes. Amen".

Cette prière, connue sous le nom de prière de Saint Michel, est souvent récitée pour obtenir sa protection et son aide dans les moments de danger spirituel.

Jésus prend son dernier repas avec les douze Apôtres dans la salle dite du « Cénacle ». Saint Paul et les évangélistes Marc, Luc et Matthieu rapportent les récits de la Cène au cours de laquelle, en prenant le pain et le vin, le Christ rend grâce et offre son Corps et son Sang pour le salut des hommes.

Au cours de ce repas, Jésus va se mettre à genoux devant chacun de ses disciples et leur laver les pieds. Il prend la tenue de serviteur et dit : « C’est un exemple que je vous ai donné afin que vous fassiez vous aussi comme j’ai fait pour vous. » Au cours de la messe célébrée avec solennité, on répète le geste du lavement des pieds.

« Demeurez ici et veillez avec moi».

Après ce repas de la Cène, l’heure de l’épreuve approchant, le Christ se rend au jardin des Oliviers avec les apôtres pour veiller et prier.

Le Jeudi Saint, l’Église célèbre la messe « en mémoire de la Cène du Seigneur », puis le Saint Sacrement est déposé au « reposoir », l’autel est dépouillé, la croix est enlevée et voilée. Tout ce dépouillement : le Christ est entré dans sa passion, dépouillé de tout. C’est une nuit d’adoration, les fidèles s’unissent à la prière du Christ ce soir-là, en veillant auprès du Saint-Sacrement (le pain et le vin consacrés au cours de la messe) jusque tard dans la nuit.

Depuis la consécration de la chapelle, en 1992, les fidèles se rassemblent, dès 18h15, pour s'unir dans un Chemin de Croix commun qui se vit en marchant sur la Coulée verte, entre l'église paroissiale de St-Pierre-St-Paul de Fontenay-aux-Roses et le Sanctuaire de Sainte-Rita, en face du RER B de Fontenay-aux-Roses.

C'est un moment fort de communion entre les deux lieux de culte, les fidèles qui s'y trouvent alors que nous prions pour la paix dans le monde, la persécusion des chrétiens (+ de 320 millions), la mission de l'Eglise, la conversion des pécheurs, la croissance spirituelle de ceux et celles qui recevront le baptême lors de la vigile de Pâques mais aussi durent l'ensemble de l'année liturgique.

Les fidèles se rassemblent dans l'église paroissiale et se préparent à se mettre en marcche en descendant la Coulée Verte, d'une station du Chemin de Croix à une autre, dans un esprit de recuillement et de prière intense.

Et, dans la sanctuaire, nous y vivront un temps fort de liturgie, celle de la cérémonie de la Passion avec la vénération de la Croix, les prières litaniques, la réception de la communion et le retour chez soi dans le silence.

Trahi par son disciple Judas, le Christ est arrêté. Il est accusé de semer le désordre par ses enseignements et surtout d’usurper le titre de Messie, c’est-à-dire de Fils de Dieu envoyé pour sauver les hommes. Interrogé par Ponce Pilate (gouverneur romain de la région), flagellé par les soldats, Il est condamné à être cloué sur une croix – supplice alors réservé aux criminels.

Chargé de la croix, le Christ gravit la colline du Golgotha (littéralement « Mont du crâne », autrement appelé « Calvaire ») et tombe plusieurs fois d’épuisement. Crucifié, Il expire au bout de quelques heures. Descendu de la croix par ses proches, Il est enveloppé dans un linge blanc (le « linceul ») et mis au tombeau.

Les chrétiens sont appelés au jeûne (qui consiste à se priver de nourriture suivant l’âge et les forces du fidèle), démarche de pénitence et de conversion, expression de l’attente du Christ. L’office du Vendredi saint, appelé « célébration de la Passion du Seigneur », est centré sur la proclamation du récit de la Passion. Il est proposé aux fidèles un Chemin de croix qui suit les étapes de la Passion du Christ.

La célébration de la nuit du Samedi Saint au dimanche de Pâques est « une veille en l’honneur du Seigneur » durant laquelle les catholiques célèbrent Pâques, passage des ténèbres à la lumière, victoire du Christ sur la mort. C’est pourquoi, dans la nuit, le feu et le cierge de Pâques sont allumés, puis la flamme est transmise aux fidèles.

C’est aussi durant cette veillée – ou Vigile pascale – que sont célébrés les baptêmes d’adultes. Ils sont l’occasion pour les fidèles de renouveler les promesses de leur baptême. À l’issue de leur chemin de catéchuménat, vécu depuis plusieurs années, cette nuit pascale constitue un sommet pour leur initiation chrétienne.

Au cœur de la vigile, les rites spécifiques aux sacrements d’initiation sont parlants : la plongée dans l’eau, symbole de mort et de vie, passage à la résurrection dans le Christ. On est baptisé au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

Au sortir de l’eau, les nouveaux baptisés seront revêtus du vêtement blanc. Ils le porteront au cours de certaines célébrations du temps pascal. S’ils sont confirmés ce soir-là, il y aura le rite avec le saint chrême, la marque de l’Esprit Saint. Avec toute l’assemblée, ils recevront le cierge allumé. Tels des porteurs de la lumière de foi dans leur vie, ils participent à la liturgie eucharistique et communient pour la première fois.

Ce qui est beau à voir et non moins significatif, c’est la joie rayonnante de ces nouveaux baptisés. Cette émotion profonde et toute simple mais qui en dit long sur la transformation humaine et spirituelle qu’ils sont en train de vivre. Ils sont les mêmes hommes, les mêmes femmes qu’auparavant mais tout autre quand même puisque résolument disciples de Jésus de Nazareth.

"Pourquoi cherchez-vous le Vivant parmi les morts ?", demandent deux hommes vêtus de manière éblouissante aux femmes venues au tombeau. "Il n’est pas ici, il est ressuscité" (Lc 24,5), conformément à ce qu'il avait dit quand il était encore en Galilée.

La Résurrection du Chrisy est l’accomplissement des promesses faites par Dieu à son peuple. C'est un jour d’allégresse, marqué dans les églises par la couleur blanche ou dorée, symbole de joie et de lumière. Avec les femmes et les apôtres, les chrétiens sont invités à se réjouir de la victoire de Dieu sur les ténèbres :

"Seigneur, tu es ressuscité d’entre les morts, Alléluia ! Tu as vaincu la mort pour moi et pour tous les hommes. Tu fais de nous un peuple de vivants ! C’est la Pâque du Seigneur, c’est le jour de la résurrection et le commencement de la vraie vie. Permets à tous les baptisés d’éclater de lumière et de joie aujourd’hui ! En ce matin de Pâques, unis par la prière à tous mes frères, je te confie ton Eglise et l’ensemble des hommes. Amen."

Ces deux personnages, c'est peut-être nous, notre couple… Jésus lui-même s'est joint ce soir à notre groupe et a fait route avec nous, mais nos yeux étaient (peut-être) empêchés de le reconnaître. Nous avons tous le cœur lent à croire ce qu'ont déclaré les prophètes… Et voilà que le Christ vient lui-même nous expliquer ce que nous ne comprenons pas.

L’Église nous annonce que Jésus est là, marchant avec nous dans nos moments de peine et de joie, nous ne le savions peut-être pas. Nous, nous le croyons. Nous croyons que le Christ ressuscité s'intéresse depuis le commencement à ce que nous vivons tous les deux, aux événements heureux et malheureux qui ont déjà jalonné et marqué notre histoire.

Nous allons nous marier à la mairie, et comme sur le chemin d'Emmaüs, le Christ fait mine d'aller plus loin, il se fait discret, il ne s'impose pas à nous. C'est nous qui décidons de l'inviter à notre mariage religieux. Nous lui disons : « Reste avec nous… » Et Jésus entre pour rester avec nous. Il se met à table et il nous bénit.

Puissent nos yeux s'ouvrir et le reconnaître, même s'il demeure invisible. Est-ce que nous ne nous disions pas l'un à l'autre : « Notre cœur n'était-il pas tout brûlant tandis qu'il nous parlait en chemin et nous ouvrait les Écritures ? ». Comme les pèlerins d'Emmaüs, nous raconterons peut-être à nos proches, ce soir, demain, ce qui s'est passé maintenant, et comment, pleins de joie, nous l'avons reconnu !

Pourquoi adorer le Christ ?

♦ L’adoration eucharistique est une attitude de prière devant le Saint-Sacrement (l’Eucharistie). Le corps du Christ est réellement présent dans l’hostie consacrée lorsque celui-ci est exposé et adoré par les fidèles.

♦ L’objectif commun de la célébration et de l’adoration de l’Eucharistie est de permettre au fidèle de s’approcher de l’amour de Dieu et d’y adhérer personnellement pour tendre à s’unir avec le Christ, entrant ainsi dans la dynamique de l’amour trinitaire. L’adoration eucharistique en dehors de la messe prolonge et intensifie ce qui est réalisé durant la célébration liturgique elle-même. Elle vise plus particulièrement à entretenir une relation d’intime amitié avec le Christ.

♦ L’adoration est une grande source de vocations. Elle est une source de renouvellement spirituel et d’évangélisation pour les fidèles et pour l’Église entière.

Le Dimanche de la Miséricorde Divine est célébré le dimanche suivant Pâques, ce qui signifie qu’en 2026, il tombera le 12 avril. Cette fête a été instituée par le pape Jean-Paul II en l’an 2000 et est basée sur les révélations faites à sainte Faustine Kowalska, une religieuse polonaise, qui a reçu un message profond sur la miséricorde de Dieu.

Thèmes principaux

1. La Miséricorde de Dieu : Ce dimanche est une célébration de l’amour inconditionnel et de la miséricorde infinie de Dieu. Il nous rappelle que, peu importe nos péchés ou nos échecs, Dieu est toujours prêt à nous accueillir avec amour et compassion. Le message de la miséricorde est particulièrement pertinent pour ceux qui se sentent éloignés de Dieu ou accablés par la culpabilité.
2. L’Invitation à la Conversion : Le Dimanche de la Miséricorde Divine nous invite à réfléchir sur notre propre vie et à nous tourner vers Dieu avec un cœur repentant. C’est une occasion de demander pardon pour nos péchés et de renouveler notre engagement à vivre selon les enseignements de Jésus.
3. La Promesse de la Grâce : Selon les révélations à sainte Faustine, Jésus a promis que ceux qui se tournent vers Lui avec foi, en ce jour, recevront une abondante miséricorde. Cette promesse nous encourage à ouvrir notre cœur à la grâce de Dieu et à la recevoir pleinement.
4. La Pratique de la Miséricorde : La fête nous appelle également à être des instruments de la miséricorde de Dieu dans le monde. Cela implique de pratiquer la miséricorde envers les autres, que ce soit par des actes de bonté, de pardon ou de compassion. Le message de la miséricorde doit se traduire par des actions concrètes dans notre vie quotidienne.

Rituels et Célébrations

• La Messe : Les célébrations du Dimanche de la Miséricorde Divine incluent souvent une messe spéciale où les fidèles sont invités à prier pour recevoir la miséricorde de Dieu et à célébrer le sacrement de la réconciliation.
• La Prière de la Miséricorde : De nombreuses communautés prient la “Chapelet de la Miséricorde Divine”, qui est une prière spécifique demandant la miséricorde pour le monde, pour les pécheurs et pour nous-mêmes. Cette prière est souvent récitée à 15 heures, l’heure de la mort de Jésus, comme un moment de grâce spéciale.
• L’Exposition du Saint Sacrement : Dans certaines paroisses, il peut y avoir une exposition du Saint Sacrement, permettant aux fidèles de prier en silence et de méditer sur la miséricorde de Dieu.

Conclusion

Le Dimanche de la Miséricorde Divine est une occasion de se rappeler la profondeur de l’amour de Dieu pour l’humanité et de renouveler notre engagement à vivre dans cet esprit de miséricorde. C’est un moment pour ouvrir notre cœur aux grâces divines, nous rapprocher de Dieu, et devenir des témoins de sa miséricorde dans le monde. En célébrant cette fête, nous sommes invités à embrasser pleinement le cadeau de la miséricorde et à le partager avec les autres, en devenant des instruments de paix et de réconciliation.

Tous les 29 du mois, à 19h, la dévotion à St-Michel est devenue un moment fort où nous lui demandons de protéger la vie spirituelle de tous les fidèles qui fréquentent notre sanctuaire mais aussi l'Eglise tout-entière.

Saint Michel Archange est l'un des saints les plus vénérés de l'Église catholique. Connu comme le chef des armées célestes, il est un puissant protecteur et un modèle de courage et de fidélité à Dieu.

Saint Michel est mentionné dans la Bible à plusieurs reprises, notamment dans le Livre de l'Apocalypse, où il est décrit comme le chef des armées célestes qui mène les anges dans la bataille contre le dragon, symbole de Satan. Son nom, Michel, signifie Qui est comme Dieu?, ce qui reflète son rôle de défenseur de la gloire divine.

"Saint Michel Archange, défendez-nous dans le combat; soyez notre secours contre la malice et les embûches du démon. Que Dieu exerce sur lui son empire, nous le demandons en suppliant; et vous, Prince de la milice céleste, repoussez en enfer, par la force divine, Satan et les autres esprits mauvais qui rôdent dans le monde en vue de perdre les âmes. Amen".

Cette prière, connue sous le nom de prière de Saint Michel, est souvent récitée pour obtenir sa protection et son aide dans les moments de danger spirituel.

Pourquoi adorer le Christ ?

♦ L’adoration eucharistique est une attitude de prière devant le Saint-Sacrement (l’Eucharistie). Le corps du Christ est réellement présent dans l’hostie consacrée lorsque celui-ci est exposé et adoré par les fidèles.

♦ L’objectif commun de la célébration et de l’adoration de l’Eucharistie est de permettre au fidèle de s’approcher de l’amour de Dieu et d’y adhérer personnellement pour tendre à s’unir avec le Christ, entrant ainsi dans la dynamique de l’amour trinitaire. L’adoration eucharistique en dehors de la messe prolonge et intensifie ce qui est réalisé durant la célébration liturgique elle-même. Elle vise plus particulièrement à entretenir une relation d’intime amitié avec le Christ.

♦ L’adoration est une grande source de vocations. Elle est une source de renouvellement spirituel et d’évangélisation pour les fidèles et pour l’Église entière.

L’Ascension est une fête chrétienne célébrée quarante jours après Pâques, marquant le moment où Jésus, après sa résurrection, monte au ciel pour s’asseoir à la droite de Dieu le Père. Cette événement revêt une signification spirituelle profonde et multiple pour les croyants. Voici quelques éléments qui illustrent le sens spirituel de l’Ascension :

1. La glorification de Jésus : L’Ascension est le moment où Jésus est élevé dans la gloire, affirmant sa divinité et son rôle de Sauveur. En montant au ciel, Il retourne à la Maison du Père, où Il est reconnu pour ce qu’Il est : le Fils de Dieu. Cela nous rappelle que Jésus a accompli sa mission sur terre et qu’Il est maintenant dans une relation parfaite avec le Père.
2. L’accomplissement des promesses : L’Ascension est un accomplissement des promesses de Jésus. Avant sa montée, Il avait promis de ne pas nous laisser seuls, mais d’envoyer le Saint-Esprit pour nous guider et nous soutenir. Cette promesse est réalisée à la Pentecôte, qui suit l’Ascension. Cela nous rappelle que Dieu reste présent et actif dans notre vie, même après le départ physique de Jésus.
3. L’appel à la mission : Avant de monter au ciel, Jésus confie à ses disciples la mission d’annoncer l’Évangile à toutes les nations. L’Ascension marque le début de la mission apostolique, où les disciples sont envoyés pour témoigner de la bonne nouvelle. Cela nous rappelle notre propre responsabilité en tant que chrétiens de partager notre foi et d’agir comme des témoins de l’amour de Dieu dans le monde.
4. L’espérance chrétienne : L’Ascension nous offre une espérance profonde. En montant au ciel, Jésus nous assure qu’il prépare une place pour nous. Cela renforce notre croyance en la vie éternelle et en la promesse d’un royaume à venir. Nous sommes appelés à vivre dans l’espérance, sachant que notre destin est lié à celui du Christ.
5. Un modèle d’humilité : L’Ascension nous rappelle que le chemin vers la gloire passe par l’humilité et le service. Jésus, en tant que Fils de Dieu, a vécu parmi nous dans l’humilité. Son ascension nous invite à suivre son exemple en servant les autres et en vivant selon les valeurs du Royaume de Dieu.
6. La dimension spirituelle de notre vie : L’Ascension nous rappelle que notre vie ne se limite pas à cette terre. Nous sommes appelés à lever nos yeux vers le ciel, à nourrir notre vie spirituelle et à chercher les choses d’en haut. Cela nous invite à nous détacher des préoccupations matérielles et à nous concentrer sur notre relation avec Dieu.

En somme, l’Ascension est un événement riche de sens spirituel, qui nous rappelle la glorification de Jésus, l’accomplissement des promesses de Dieu, notre appel à la mission, l’espérance chrétienne, l’humilité et la dimension spirituelle de notre vie. C’est un moment qui nous invite à approfondir notre foi et à vivre activement notre mission en tant que disciples du Christ.

La Pentecôte est une fête chrétienne qui revêt une signification spirituelle profonde et essentielle dans la vie de l’Église. Elle se célèbre cinquante jours après Pâques et commémore la descente du Saint-Esprit sur les apôtres, marquant ainsi la naissance de l’Église. Voici quelques éléments qui illustrent le sens spirituel de la Pentecôte :

1. La promesse de Jésus : Avant son ascension, Jésus a promis à ses disciples qu’il leur enverrait un Consolateur, le Saint-Esprit. La Pentecôte réalise cette promesse, rappelant aux croyants que Dieu ne les abandonne jamais et qu’il est toujours présent avec eux, par le biais de l’Esprit.
2. La transformation des disciples : À la Pentecôte, les apôtres, qui étaient auparavant craintifs et hésitants, reçoivent le Saint-Esprit et sont transformés. Ils deviennent des témoins courageux de la résurrection du Christ, prêchant avec audace et conviction. Cela nous rappelle que l’Esprit Saint nous transforme, nous fortifie et nous appelle à vivre notre foi pleinement.
3. L’unité dans la diversité : La Pentecôte est également un symbole d’unité. Les apôtres, venus de différents milieux et parlant différentes langues, sont unis dans leur mission. Le Saint-Esprit transcende les barrières culturelles et linguistiques, créant une communauté diversifiée mais unie dans la foi. Cela nous invite à accueillir la diversité au sein de nos communautés et à travailler ensemble pour le bien commun.
4. La mission et l’envoi : La Pentecôte est souvent considérée comme le moment où les disciples sont envoyés en mission. L’Esprit Saint les pousse à partager l’Évangile avec le monde entier. Cela souligne l’appel missionnaire de chaque chrétien à être un témoin de l’amour du Christ et à annoncer la bonne nouvelle.
5. Les dons de l’Esprit : La Pentecôte rappelle également la richesse des dons que le Saint-Esprit accorde aux croyants, tels que la sagesse, l’intelligence, le conseil, la force, la connaissance, la piété et la crainte de Dieu. Ces dons sont offerts pour édifier la communauté et pour servir les autres dans l’amour.
6. La vie spirituelle : La Pentecôte nous invite à approfondir notre relation avec le Saint-Esprit, à être attentifs à ses inspirations et à vivre selon ses mouvements. Cela implique une ouverture à sa présence dans notre vie quotidienne, nous conduisant vers une vie de prière, de discernement et de service.

En somme, la Pentecôte est une célébration de la présence active de Dieu dans le monde, nous rappelant que nous sommes appelés à vivre dans la puissance de l’Esprit Saint. C’est un temps de renouveau spirituel, d’unité et de mission, qui nous pousse à aller au-delà de nous-mêmes pour construire le Royaume de Dieu sur terre.

Tous les 29 du mois, à 19h, la dévotion à St-Michel est devenue un moment fort où nous lui demandons de protéger la vie spirituelle de tous les fidèles qui fréquentent notre sanctuaire mais aussi l'Eglise tout-entière.

Saint Michel Archange est l'un des saints les plus vénérés de l'Église catholique. Connu comme le chef des armées célestes, il est un puissant protecteur et un modèle de courage et de fidélité à Dieu.

Saint Michel est mentionné dans la Bible à plusieurs reprises, notamment dans le Livre de l'Apocalypse, où il est décrit comme le chef des armées célestes qui mène les anges dans la bataille contre le dragon, symbole de Satan. Son nom, Michel, signifie Qui est comme Dieu?, ce qui reflète son rôle de défenseur de la gloire divine.

"Saint Michel Archange, défendez-nous dans le combat; soyez notre secours contre la malice et les embûches du démon. Que Dieu exerce sur lui son empire, nous le demandons en suppliant; et vous, Prince de la milice céleste, repoussez en enfer, par la force divine, Satan et les autres esprits mauvais qui rôdent dans le monde en vue de perdre les âmes. Amen".

Cette prière, connue sous le nom de prière de Saint Michel, est souvent récitée pour obtenir sa protection et son aide dans les moments de danger spirituel.

Pourquoi adorer le Christ ?

♦ L’adoration eucharistique est une attitude de prière devant le Saint-Sacrement (l’Eucharistie). Le corps du Christ est réellement présent dans l’hostie consacrée lorsque celui-ci est exposé et adoré par les fidèles.

♦ L’objectif commun de la célébration et de l’adoration de l’Eucharistie est de permettre au fidèle de s’approcher de l’amour de Dieu et d’y adhérer personnellement pour tendre à s’unir avec le Christ, entrant ainsi dans la dynamique de l’amour trinitaire. L’adoration eucharistique en dehors de la messe prolonge et intensifie ce qui est réalisé durant la célébration liturgique elle-même. Elle vise plus particulièrement à entretenir une relation d’intime amitié avec le Christ.

♦ L’adoration est une grande source de vocations. Elle est une source de renouvellement spirituel et d’évangélisation pour les fidèles et pour l’Église entière.

Tous les 29 du mois, à 19h, la dévotion à St-Michel est devenue un moment fort où nous lui demandons de protéger la vie spirituelle de tous les fidèles qui fréquentent notre sanctuaire mais aussi l'Eglise tout-entière.

Saint Michel Archange est l'un des saints les plus vénérés de l'Église catholique. Connu comme le chef des armées célestes, il est un puissant protecteur et un modèle de courage et de fidélité à Dieu.

Saint Michel est mentionné dans la Bible à plusieurs reprises, notamment dans le Livre de l'Apocalypse, où il est décrit comme le chef des armées célestes qui mène les anges dans la bataille contre le dragon, symbole de Satan. Son nom, Michel, signifie Qui est comme Dieu?, ce qui reflète son rôle de défenseur de la gloire divine.

"Saint Michel Archange, défendez-nous dans le combat; soyez notre secours contre la malice et les embûches du démon. Que Dieu exerce sur lui son empire, nous le demandons en suppliant; et vous, Prince de la milice céleste, repoussez en enfer, par la force divine, Satan et les autres esprits mauvais qui rôdent dans le monde en vue de perdre les âmes. Amen".

Cette prière, connue sous le nom de prière de Saint Michel, est souvent récitée pour obtenir sa protection et son aide dans les moments de danger spirituel.

Pourquoi adorer le Christ ?

♦ L’adoration eucharistique est une attitude de prière devant le Saint-Sacrement (l’Eucharistie). Le corps du Christ est réellement présent dans l’hostie consacrée lorsque celui-ci est exposé et adoré par les fidèles.

♦ L’objectif commun de la célébration et de l’adoration de l’Eucharistie est de permettre au fidèle de s’approcher de l’amour de Dieu et d’y adhérer personnellement pour tendre à s’unir avec le Christ, entrant ainsi dans la dynamique de l’amour trinitaire. L’adoration eucharistique en dehors de la messe prolonge et intensifie ce qui est réalisé durant la célébration liturgique elle-même. Elle vise plus particulièrement à entretenir une relation d’intime amitié avec le Christ.

♦ L’adoration est une grande source de vocations. Elle est une source de renouvellement spirituel et d’évangélisation pour les fidèles et pour l’Église entière.

Tous les 29 du mois, à 19h, la dévotion à St-Michel est devenue un moment fort où nous lui demandons de protéger la vie spirituelle de tous les fidèles qui fréquentent notre sanctuaire mais aussi l'Eglise tout-entière.

Saint Michel Archange est l'un des saints les plus vénérés de l'Église catholique. Connu comme le chef des armées célestes, il est un puissant protecteur et un modèle de courage et de fidélité à Dieu.

Saint Michel est mentionné dans la Bible à plusieurs reprises, notamment dans le Livre de l'Apocalypse, où il est décrit comme le chef des armées célestes qui mène les anges dans la bataille contre le dragon, symbole de Satan. Son nom, Michel, signifie Qui est comme Dieu?, ce qui reflète son rôle de défenseur de la gloire divine.

"Saint Michel Archange, défendez-nous dans le combat; soyez notre secours contre la malice et les embûches du démon. Que Dieu exerce sur lui son empire, nous le demandons en suppliant; et vous, Prince de la milice céleste, repoussez en enfer, par la force divine, Satan et les autres esprits mauvais qui rôdent dans le monde en vue de perdre les âmes. Amen".

Cette prière, connue sous le nom de prière de Saint Michel, est souvent récitée pour obtenir sa protection et son aide dans les moments de danger spirituel.

Un appel à l'espérance et à la confiance!
En ce jour où nous célébrerons l’Assomption de Marie, notre cœur est invité à s’élever au-delà du visible, à contempler ce mystère lumineux où la Créature se trouve pleinement réunie à son Créateur. Marie, en qui Dieu a fait sa demeure, est élevée en son corps et en son âme dans la gloire céleste, signe de la victoire de la vie sur la mort et de l’amour divin qui ne connaît pas de fin.

Ce mystère dépasse notre compréhension humaine, et pourtant il éclaire notre route. Il nous rappelle que nous sommes tous appelés à une destinée qui transcende le temps et l’espace. Par l’Assomption, Marie inaugure pour l’humanité tout entière un avenir glorieux, un espoir vivant que la mort n’aura pas le dernier mot.

En contemplant Marie élevée au ciel, nous sommes invités à renouveler notre confiance en la promesse du Christ ressuscité : « Là où je suis, vous serez aussi » (Jn 14,3). Sa montée au ciel est une anticipation de notre propre appel à la résurrection et à la vie éternelle.

Cette fête nous invite aussi à la patience et à la persévérance dans les épreuves. Elle nous enseigne à demeurer fidèles à l’amour de Dieu, à nourrir notre foi, à porter du fruit dans le quotidien, avec l’assurance que la gloire promise se manifeste déjà dans les gestes simples de charité et de service.

Enfin, l’Assomption nous rappelle que Marie, notre Mère, intercède pour nous auprès de son Fils, qu’elle éclaire nos pas et qu’elle nous accompagne dans notre cheminement. En elle, la créature rend gloire à son Créateur, et nous aussi, unis à elle, nous sommes appelés à devenir ce que nous sommes vraiment : des enfants de Dieu, héritiers de la vie éternelle.

Que cette célébration profonde nous fortifie, nous inspire et nous entraîne dans une marche joyeuse vers le Royaume, où l’amour ne finit jamai

Tous les 29 du mois, à 19h, la dévotion à St-Michel est devenue un moment fort où nous lui demandons de protéger la vie spirituelle de tous les fidèles qui fréquentent notre sanctuaire mais aussi l'Eglise tout-entière.

Saint Michel Archange est l'un des saints les plus vénérés de l'Église catholique. Connu comme le chef des armées célestes, il est un puissant protecteur et un modèle de courage et de fidélité à Dieu.

Saint Michel est mentionné dans la Bible à plusieurs reprises, notamment dans le Livre de l'Apocalypse, où il est décrit comme le chef des armées célestes qui mène les anges dans la bataille contre le dragon, symbole de Satan. Son nom, Michel, signifie Qui est comme Dieu?, ce qui reflète son rôle de défenseur de la gloire divine.

"Saint Michel Archange, défendez-nous dans le combat; soyez notre secours contre la malice et les embûches du démon. Que Dieu exerce sur lui son empire, nous le demandons en suppliant; et vous, Prince de la milice céleste, repoussez en enfer, par la force divine, Satan et les autres esprits mauvais qui rôdent dans le monde en vue de perdre les âmes. Amen".

Cette prière, connue sous le nom de prière de Saint Michel, est souvent récitée pour obtenir sa protection et son aide dans les moments de danger spirituel.

Tous les 29 du mois, à 19h, la dévotion à St-Michel est devenue un moment fort où nous lui demandons de protéger la vie spirituelle de tous les fidèles qui fréquentent notre sanctuaire mais aussi l'Eglise tout-entière.

Saint Michel Archange est l'un des saints les plus vénérés de l'Église catholique. Connu comme le chef des armées célestes, il est un puissant protecteur et un modèle de courage et de fidélité à Dieu.

Saint Michel est mentionné dans la Bible à plusieurs reprises, notamment dans le Livre de l'Apocalypse, où il est décrit comme le chef des armées célestes qui mène les anges dans la bataille contre le dragon, symbole de Satan. Son nom, Michel, signifie Qui est comme Dieu?, ce qui reflète son rôle de défenseur de la gloire divine.

"Saint Michel Archange, défendez-nous dans le combat; soyez notre secours contre la malice et les embûches du démon. Que Dieu exerce sur lui son empire, nous le demandons en suppliant; et vous, Prince de la milice céleste, repoussez en enfer, par la force divine, Satan et les autres esprits mauvais qui rôdent dans le monde en vue de perdre les âmes. Amen".

Cette prière, connue sous le nom de prière de Saint Michel, est souvent récitée pour obtenir sa protection et son aide dans les moments de danger spirituel.

Tous les 29 du mois, à 19h, la dévotion à St-Michel est devenue un moment fort où nous lui demandons de protéger la vie spirituelle de tous les fidèles qui fréquentent notre sanctuaire mais aussi l'Eglise tout-entière.

Saint Michel Archange est l'un des saints les plus vénérés de l'Église catholique. Connu comme le chef des armées célestes, il est un puissant protecteur et un modèle de courage et de fidélité à Dieu.

Saint Michel est mentionné dans la Bible à plusieurs reprises, notamment dans le Livre de l'Apocalypse, où il est décrit comme le chef des armées célestes qui mène les anges dans la bataille contre le dragon, symbole de Satan. Son nom, Michel, signifie Qui est comme Dieu?, ce qui reflète son rôle de défenseur de la gloire divine.

"Saint Michel Archange, défendez-nous dans le combat; soyez notre secours contre la malice et les embûches du démon. Que Dieu exerce sur lui son empire, nous le demandons en suppliant; et vous, Prince de la milice céleste, repoussez en enfer, par la force divine, Satan et les autres esprits mauvais qui rôdent dans le monde en vue de perdre les âmes. Amen".

Cette prière, connue sous le nom de prière de Saint Michel, est souvent récitée pour obtenir sa protection et son aide dans les moments de danger spirituel.